fa che de fe ne an fe on ob af en ef 8 of af ea oÿa ae

En Amérique dans cette atmosphère saxonisée et saxonisante, nous le savons maintenant: nous sommes restés catho- liques parce que nous sommes restés Français. Après Dieu voilà d’où nous est venu le salut.

Abbé GROULX.

F po + Ÿ À CA Ÿ + CAS LS + je CAS Co de je Ÿ <

VOLUME

———————————————

IMPRESSIONS DE VOYAGE , | | Paysages d'Amalfi |

La visite d'un pays en autocar est intéressante, plus intéressante à mon avis que par chemin de fer, car vous circulez sur les routes com- me le commun des mortels, et vous traversez en plein coeur des villes! et des villages. Mais ce genre de transport a aussi ses inconvénients, surtout si vous n'êtes pas au volant et que la voiture file à 50 milles à l'heure. Essayez de vous arrêter pour jouir d’un paysage, visiter un lieu historique: vous risquez de finir votre voyage à pied. J'ai regretté parfois de n'avoir pas vécu dans les siècles passés. Moines et fidèles faisaient alors leur pèlerinage, allant petit train, pieds nus et sans se morfondre; et le soir, ils se reposaient sous le regard maternel de “nos soeurs les étoiles”, comme dirait le séraphique François d'Assise.

Mais aujourd'hui, je suis bel et bien en 1950, et je voyage en vitesse dans un autocar de la CITA. Nous faisons un court arrêt dans la nou- velle Pompéi, bâtie non loin de la ville détruite. Il est aux environs de midi. “Nous repartons dans un quart d'heure”, nous dit le chauffeur. Jnste le temps de faire une courte visite au célèbre sanctuaire de Santa Maria del Rosario, dont l’intérieur est richement décoré.

Au moment où nous pénétrons, un cortège nuptial est à se faire | photographier sur le portique. La nouvelle mariée à l'air toute jeune, presqu'une enfant d'école. Elle est heureuse; la joie rayonne sur son visage. Ah! l'amour. . .! À l'intérieur, une autre cérémonie de mariage est à se dérouler: Décidément à Pompéi, comme à Edmonton, on aime. à pratiquer sa religion sur l'heure du midi. | |

Les voyageurs ont repris docilement leur place en voiture; le, chauffeur jette un coup d'oeil sur son troupeau et compte les nez; nous démarrons. Cette fois, nous avalerons d’un seul trait 40 kilomètres de route. Sans nous arrêter, nous traversons Pagani, qui conserve le tom- beau de saint Alphonse de Liguori; (pardonnez-moi, ô bienheureux

Alphonse, de vous avoir ignoré!); Nocera, où se trouve une église cir- lie us oo Chine lance|sont d’avis que si les communistes de Rome pour prendre part à la cérémonie.

culaire datant du Ve siècle; Cava dei Tirreni, qui renferme, dit-on,

toutes sortes de trésors; mais ça n'est pas pour les infortunés touristes. |

Et voici Salernel Des hauteurs où nous sommes, elle offre un coup d'oeil magnifique, baignée de soleil et encadrée par l'azur de la mer. Ancienne colonie romaine, qui existait deux siècles avant Jésus-Christ, Salerne a une histoire glorieuse: patrie de plusieurs saints, elle conserve encore les restes de saint Mathieu; son école de médecine fut au Moyen- Age la plus célèbre de toute l'Europe. C’est aussi à Salerne qu'eut lieu l'une des plus violentes batailles de la dernière guerre.

Nous frôlons à peine la ville à son extrémité nord et nous dévalons vers la Méditerranée. Blottie dans une baie riante, qui me rappelle de loin le paysage de Seattle, Salerne repose paisiblement et semble at-

Mgr Duke, de Vancouver. :

a Survivance

. Organe de l'Association Canadienne-Françcaise de l'Alberta

EDMONTON, ALBERTA :— MERCREDI 16 AOÛT 1950 No_40

Les résultats du Concours de français en Alberta

Nous publions aujourd’hui la première tranche des résultats du dernier Concours de français dans l'Alberta. Comme la liste des con- courrents (catégorie A) est de beaucoup plus longue que par le passé, nous sommes forcés à cause de la surabondance de la matière de repartir la publication des résultats entre plusieurs numéros du journal. Nos abonnés réguliers n’y verrons aucun inconvénient: il leur suffira de pa- tienter-une semaine de plus pour connaître tous les résultats. Quant à [eeus qui n’achètent le journal qu’une fois l’an, pour y voir leur nom, ils en achèteront deux copies au lieu d’une. . . s’il en reste de disponibles.

Bourses

Bourse de $100.00 offerte par Son Excellence Mgr Maurice Roy, archevêque de Québec, décernée à Juliette RICHARD, pensionnat de l'Assomption, Edmonton

Bourse de $60.00 offerte par M. J.-A. Goyer, 406 est, rue Notre- | Dame, Montréal, et la Société St-Jean-Baptiste de Montréal, décernée à

Montréal. — Mgr Paul-Emile Léger, Rita GAUCHER, école de Fort Kent.

archevèque de Montréal, a annoncé que | Bourse de $40.00 offerte par Son Excellence Mgr Henri Routhier,

i}: satifi i = éné è d À à . . . À Les premiers succès militaires alliées | ples asiatiques. > He de Je vénérable ee o.m.i., Vicariat Apostolique de Grouard et M. Lionel Kirouac, Warwick Marguerite Bourgeois, missionnaire dés \150len Mills, Warwick, P.Q., décernée à

en Corée approchent peut-être l’inter- rtai ; : ;

; . È pproen d ee ant Certains observ ateurs européens sont ]es premiers jours de Montréal, aura lieu ; c : £

vention des rouges de Chine pour appu-|allés jusqu'à dire que si les Américains au Vatican le 12 novembre | Renée PICHEE, pensionnat de l’Assomption, Edmonton à atics 2 | a à de

ver invasion communiste du sud de la commettent l'erreur de livrer la guerre La béatification de Mère Bourgeois fs ru LE = Li :

Eure : . . nou régime de Pekin à Formose, tout est un pas de plus vers la canonisation Moscou voit peut-être déjà avec inquié- | l’Asie sera perdue au communisme.

CATEGORIE “A” GRADE XI

tude la victoire lui échapper à moins que Prix offert par Son Exc. Mgr Alexandre Vachon, archevêque d'Ot- tawa, décerné à | . Juliette RICHARD, pensionnat de l'Assomption, Edmonton

Anonyme

Nous prions le correspondant qui nous a envoyé des nouvelles de Kath- 1] lcen, sans signer son nom, de vouloir | bien nous faire connaître son nom. L'enveloppe était postée de McLen- an. Nous aimons savoir à qui nous avons affaire.

| | L | |

Grâce aux sacrifices et au dévouement des nôtres en Colombie canadienne, cette magnifique école supérieure canadienne-française fait maintenant l’orgueil de la paroisse Notre-Dame de Lourdes à Mail-| Jardville, La bénédiction aura lieu le 4 septembre par Son Excellence |

Merci.

Même remarque pour le correspon- dant de Maïillardville qui signe M.M. : Merci.

Si la Chine communiste attaque, | 2tccrion de Mère la situation deviendra critique |*°"°°°°12"°"-"?"

Par la British United Press raient persuader plus facilement les peu-

La politique internationale

de cette pionnière.

D'autre part; des experts américains! Mgr Léger a dit qu'il se rendrait à!

Chine interviennent en Corée, ils atta-| Ê Les stratèges soviétiques qui ont or-|queront en même! temps à Formose, à' |ganisé et préparé l'invasion communiste Honk-Kong, en Indochine, en Malaisie, en Corée se rendent probablement comp-|en Birmanie et au Tibet, déclanchant te que si les forces américaines font|une guerre sur plusieurs fronts tout

L'Eglise condamne | la guerre

échouer la poussée sur Pousan, il faut que|comme Y'a fait le Japon lors de la der- GRADE XI les communistes de Chine entrent immé- | nière guerre. } . ; : : : ditement at combat. in ts _—— _ | | Prix offert par Son Excellence Mgr Martin Lajeunesse, o.m.i, Vi- ï ble al Le Krenlin| Chi is, si le régime communiste de! Cité du Vatican. —-Au cours d’une| caire apostolique de Keewatin, Le Pas, Manitoba, décerné à est Dossi e alors que le emlin | Chine attaque ces pays, Moscou ne pour- audience générale accordée dans la basi- Evangéline FORCIER, école de Donnelly. ordonne au régime communiste de Chine |ra jamais prétendre présenter les Amé- lique St-Pierre à 80,000 pèlerins, Sa 8 Q \DE X Y.

Prix offert par Son Exc. Mgr Albini Lafortune, évêque de Nicolet, Nicolet, P.Q., décerné à. Anne-Marie ANCTIL, école de Falher

de lancer ses effectifs au combat. ricains comme des agresseurs. Au Con-|Suinteté le pape Pie XII a déclaré que Les autorités soviétiques se rendent|traire, la Russie devra renoncer à ja-|J'Eglise a toujours condamné la ere compte en effet que les effectifs améri-| mais à l'espoir de faire admettre le ré-|et qu'elle défend la paix entre les fils

tendre l'heure propice de se baigner dans les eaux bleues de la mer. En dépit de quelques cicatrices de guerre, elle m'apparaît élégante et ses demeures ne manquent pas de charme. Je m'écarquille les yeux; car le souvenir de cette rapide vision, c'est tout ce que je rapporterai de Salerne. À une bifurcation, nous nous engageons vers la droite, en direction d’Amalfi.” Adieu, Salernel

Tout le reste de la journée devait s'écouler dans un paysage en- chanteur. Dès que nous avons atteint le rivage de la mer, une route

merveilleuse nous accueille. Taillée presqu'entièrement dans les rochers, ;

à la manière d’une corniche, elle suit, docile, les caprices de la nature: elle contourne les caps, serpente au fond des baies. À chaque détour,

le panorama varie: nature sauvage, gorges ‘ profondes, au fond des-!

quelles, parfois, un petit ruisseau s'amuse et dégringole comme sa gamin. Et toujours cette mer dazur qu'illumine aujourd'hui un cie

d'une limpidité de cristal. C’est la Côte amalfiennel

Habituellement on entend les voyageurs nous vanter la Côte d’azur | ces. qui s'étend depuis Gênes, en Italie, jusqu'à Nice, en France. Pour moi, :

(on ne discute pas les goûts), j'ai préféré" la Côte. amalfienne. Je ne dis

pas que la première Vintimille, Menton, resques avec leurs

factice, des allures de “gros riche”. Sur 1 je me suis senti plus près de la nature,

L’autocar transporte en ce moment des voyageurs ravis.

rester impassible devant un spect canadiennes écrasent les visiteurs par leurs

reposants. Les imprévus ne manquent pas. Voici, d’un ravin, une bourgade C’est une colonie fondée par les guide, on trouve un petit noyau fout à coup Cetara, à l'aspect presque O7? on sé rapproche de nouveau de la mer, puis sauvage d'Erchia, et l'on rejoint la côte au Cap d'un coup d'oeil magnifique, on embrasse le go veilleuse de Capri.

"Après-midi ivi à olie petite ville 2 Fe RE : Vers 1h30 de l'après-midi nous arrivions à la j P way, du Northern Alberta Railway, et du |nisation de coopération économique euro-Ules Etats-Unis désirent se faire remet- UN EDITORIAL

d'Amalfi, .dont les maisons blanches s'aggrippent du mieux qu'elles t, qu'importe la beauté

ien que nous avons la fale basse”. | Nous sommes partis de Naples assez tôt ce matin; ne avons visité la!

i î éi; epuis, nous avons |, J. S Secele manufacture de corail et le ruines de Pompéi; et depuis, | un

peuvent au flanc des rochers. Mais, en ce momen du paysage. Vous vous imaginez b

parcouru un bon bout de chemin. La faim nous tiraille.

Au contentement visible de tous les p devant l'hôtel Marine Rivière (Riviera visto rons ici.aux frais de la compagnie C comprend tout: transport, visite midi; six piastres pour la journée dt pas les voyageurs. Nous entrons dans l'Albergo Riviera comm tons dociles dans leur bergerie. L'endroit est propre et coque est mise; on attendait notre visite. Et vous devinez

dégusté. Eh! oui,

qu’on dépose devant vous comme une vrai la quantité, non plus. Dire que dans tout Edmon tant de vantardises) on ne trouve pas un seul peti qu’on peut honnêtement qualifier d’italien.

Le repas se passa dans une atmosphère de gaieté. La salle à diner contient une vingtaine de petites tables pour quatre ou Six convives: Jai pour compagnon le P. Martin, de chez Fides, et un médecin de Lyon avec sa dame. Par les nombreuses fenêtres qui donnent sur la mer, nous |. pouvons voir se balancer les légères embarcations. Nos hôtes nous réser-

vaient une surprise. Au beau inilieu du repas, on introduit dans la salle! t nous faire entendre des morceaux

un petit groupe d'artistes qui von

de folklore napolitain.. Ce sont, si je puis dire, des gens du terroir, qui se présentent à nous dans leur mise journalière: le chef de la famille

” du répertoire.italien. Jamais je n'ai entendu de simples enfants chanter| et ses'beaux-chants napolitains. +

si bien. Ce sont. de pétits gosiers d'or d’où. filtrent des notes. pures :

n’est pas belle, splendide même. Savona, Alassio, aux prises sur le sol de Chine au lieu de Monte Carlo, Nice offrent des points de vue pitto-|la Corée. C'est à Formose que les rou- villas aux couleurs gaies, leurs parterres fleuris etiges voudraient choisir le champ de ba- leurs plages de sable fin. Mais on y voit trop souvent dominer une note taille. Alors Moscou présenterait les a Côte amalfienne, au contraire, | Américains comme des envasisseurs du sol

d'une nature non moins sédui- chinois et les autorités soviétiques pour- sante que celle de Nice. Je lui accorde mes préférences. Affaire de goût. Comment,

acle si grandiose? Si les Rocheuses masses gigantesques, la Ô i $ et nous attire avec ses paysages Côte amalfienne, elle, nous charme RATE see de qui semble avoir été oubliée là par les siècles. Sarrasins et où, nous apprend notre de leurs descendants. Puis, “apparaït|ve des chemins de fer n'est pas encore e oriental. On traverse le bourg, réglée. L'Association des "Chemins de l'on s'engage dans la gorge |Fer du Canada désire informer le public Tumolo” À un tournant, | que tous les services au Canada des Che- fe d'Amalfi et l’île mer- mins de Fer Nationaux, du Pacifique Ca-

assagers, l'autocar s'arrête messageries, ainsi que tous les services dalla Marina). Nous dine- |de transport par eau à l'intérieur du pays, ITA. Le billet d’excursion, en effet, sur les côtes, et les services de traversiers| , : à PL: des endroits touristiques, repas du |de ces chemins de fer, de même que leurs d obligations d epargne . Aimables, ces Italiens! ils n’égorgent |télégraphs, seront interrompus si les che- e des mou- minots entrent en grève.

t; la table bien ce que j'ai un spaghetti . d'un vin ns ne

ise? a ces succulents ’

vous scandalisez. pas, Docteur } je manne sans lésiner sur ton, (qui se permet it bout de spaghetti

t 10 et 12 ans. Le vieux porte une de de 1900, et il est sérieux comme

amphore. Pour en ouche, rétire.la lèvre inférieure et fait Sa mimique est drôle. à crever, mais ilobtient une riche.résonnance de contrebasse. Ses compagnons. jouent _.de la guitare. Quant aux deux fillettes, un peu ‘timides, mais les yeux pétillants d'intelligence, elles nous, interprètent les, plus belles pièces |:

çains en Corée augmentent sans cesse, | gime coïfimuniste chinois au sein des!j'une même patrie tout comme elle dé- de même que les munitions, les vivres Nations Unies. | end la paix extérieure entre les membres GRADE IX ct les autres approvisionnements néces-| Les Etats-Unis pourraient vaincre les ‘de la grande famille humaine. Le pape a Prix offerts par Son Exc. Mgr Philippe Desranleau, évêque de Isaire pour mener cette campagne à bon-| communistes de. Chine en Corée seule- demandé aux pèlerins venus de Frante,| Sherbrooke, Sherbrooke, PQ, décernés à ne fin. Ma à M à ment, mais ils ne pourraient guère espé- Belgique, Grande-Bretagne, Malte, E-| Liliane PAUL, école de Falher larrivent plus rapidement qu’elles sont fai He” ate.Uni : che: - Sui | u ; _ i ph | > ; & : nn rer le faire dans tous ces pays. Îl est|tats Unis, Allemagne, Autriche, Suisse, Rita LAMBERT, école de St-Paul consommées ct les Chars dassaut qui probable que. l’Angleterre ne pourrait Espagne, Mexique, Colombie, Saint-Do- -__ GRADE VIN ; ‘avaient semé la terreur au début de l’in- |, : £ mi ; kci ; inoli LAVRIEN | | pas défendre Hong-Kong contre une!mingue, Syrie, Brésil, Turquie et Tripoli- Prix offert par M. l'abbé Joseph Ferland 5 158 rue St h lvasion sont maintenant arrêtés avec suc-|telle attaque, et la France ne pourrait taine de prier pour que s'éloigne du mon- z FR: Sep erland, curé, rue St-Joseph, Québec, décerné à Georgette GRANGER, école de Tangente

GRADE VII : Prix offert par les Révérends Pères Oblats de la paroisse de Falher, décerné à

Îcès dans leurs courses. Certains nordis-|bas garder l’Indochine longtemps dans de la menace de la guerre. Il s’est adres- ites commençent ‘à douter de la victoire de telles circonstances. sé à son immense auditoire en six lan- LEE ils constatent que les Américains Dans de telles conditions, le Japon et BUCS différentes.

peuvent déclencher déjà de puissantes || Philippines seraient fort tentés de se! | contre-attaques locales en utilisant de joindre au bloc communiste pour empê- ‘redoutables forces aériennes et terrestres; | pe. que le combat atieigne leurs rives

ly compris des chars d'assaut très effica- i

Doris AUBIN, école de Falher. GRADE VI

Croisade du Rosaire Les Américains seraient devant un ; 2 | ; ; érucl dilemme, si la Chine communiste! Québec. — Une croisade du chapelet Prix offerts par l'honorable sénateur Aristide Blais, Vancouver, attnque. Dans ce cas, sicles Américain sen famille est organisée dans 28 diocèses | C.B., décernés à : : à 2 T ». ick attaquaient les grandes villes de la Chine du Québec, du None RUE ee avec des bombes atomiques, ils devrai- de l'Ontario. 200,000 militants s’effor-

ent craindre que l'opinion. mondiale Les |“cront d’enrôler 4,000,000 de fidèles

désapprouve. D'auhe part, si les Amé sous l’étendard de Notre-Dame du très 2 À L

‘Certes, la Russie désirerait que les for- lces américaines et chinoises en viennent

Sylvia LAMBERT, école de St-Paul

Paul POIRIER, couvent Notre-Dame, Morinville GRADE V

Prix offerts par l'honorable Edouard Asselin, C.R., 1403 édifice Aldred, Montréal, P.Q., décernés à Lorraine PREFONTAINE, pensionnat de l’Assomption, Edmonton

Gaétane PELLETIER, école de Legal GRADE IV Prix offert par M. l'abbé M.-A. Lavallée, curé, paroisse Saint-Paul, Abbotsford, P.Q., décerné à Doris BEAUPRE, école de Legal

pe pe : ricains n'entreprenaient pas des raids , Saint pores Get le p Le sie ne lvement religieux jamais organisé dans

atomiques contre les grandes villes et les RE “EME : centres d'approvisionmement, leur tà che‘ toute l'histoire de l'Eglise canadienne. serait considérablement accrue. |

Il reste cependant possible que le chef. Les E.-U. réclament 11 de la Chine communiste refuse de pren-, milliards de Moscou

dre un tel risque et que Moscou hésite

à faire pression en sachant que ce serait : &

Le : Washington. — On révèle que les provoquer une troisième guerre mondial pet Unis ont fait pression récemment | | GRADE IL | a effroyable. sur la Russie pour obtenir le règlement Prix offerts par M. Felix Desrochers, Bibliothécaire général, Biblio-

a ——— — d'un compte de $11,000,000,000. La thèque du Parlement, Ottawa, Ontario, décerné à ne M.S. D. Pierce est Anne-Marie HOGUE, école Thibeault, Morinville nommé à Paris

Georgina TOURANGEAU, école Thibeault, Morinville Jeannine BOUDREAULT, école Saint-Paul

Richard BLAIS, Couvent Notre-Dame, Morinville (suite page 6)

Grève des chemins de fer, le 22 août

Au moment’ d’aller sous presse, la grè-

Russie doit cette somme aux Etats-Unis | pour les secours que les Américains lui | ra LE £

ont dépêchés au cours de la deuxième guerre mondiale, en vertu du programme de prét-bail. Parmi ces secours, on re- marque plusieurs navires de guerre, que

Ottawa. — M. S. D. Pierce, adjoint au Inadien, de l'Ontario Northland Railway, |sous-ministre du Commerce, vient d’être du Toronto, Hamilton and Buffalo Raïl-|nommé représentant canadien à l’Orga-

| | Er Napierville Junction Railway pourraient |béenne, à Paris annonce le ministère ça-tre, Car advenant un conflit général entre

cesser de fonctionner à 6 heures delnadien des Affaires extérieures. iV'est et l’ouest, il n’y a aucun doute que

l’avant-midi, le mardi 22 août. M. Pierce aura le rang personnel dame Le Le Pousaee ee Les catholiques el la guerr e froide

RAM ' : : M. J. A. Brass, secrétaire-général de |bassadeur. On croit qu’il assumera son

Lors du dernier conflit, en toutes les capitales politiques du monde se concevaient des plans de destruction. Il fallait mobiliser hommes et biens pour l'oeuvre de la guerre. En la Capitale Eternelle, on se don- na à une oeuvre d'amour à laquelle s’employait Celui que l'on a pu appeler le Grand Samaritain. :

Les plans du Chef de l'Eglise ne tinrent pas compte des frontières, des races, ni même des croyances religieuses. Les oeuvres de charité du Très Saint-Père furent connues de tous. A Celui qui est le suc-. cesseur. du Christ venu pour sauver tous les hommes, il appartenait d'aider tous les malheureux. Et tous connurent l'immense générosité du Père qui voudrait voir ses fils vivre dans un atmosphère de paix, de

M. St-Laurent irai | en Australie

‘vices de transport de voyageurs et de de septembre.

Ottawa. — M. Francis Forde, haut commissaire d'Australie au Canada, a dit A que le preniier ministre St-Laurent a été ’iinvité à visiter son pays l'an prochain. M. St-Laurent a répondu qu'il acceptait l'in vitation et qu'il se rendrait en Australie Isi les circonstances le permettaient lan iprochain. ee

Une autre campagne

Ottawa. — On a appris, à Ottaw

M. Brass a ajouté que l'Association des |que rien ne peut empêcher le gouverne- Chemins de Fer du Canada renseignera|ment d’utiliser largent des obligations par une note préalable les expéditeurs et d'épargne, pour financer les dépenses de le public sur les embargos déclarés au la Défense nationale. Déjà, on se pré- sujet du transport des denrées périssables | pare à lancer une autre campagne d’obli- et autres marchandises. gations, de 16 octobre.

justice et de charité. Les plans du Très Saint-Père furent réalisés par Ci li =. une ue de AS LS dont les oies ont permis + : d'utiliser la moindre obole pour le soulagement des éprouvés.

douces comme du velour. Toute leur âme passe dans leur voix, cepen- inq ré IRICUSES au le Le travail de secouis nc s'est pas terminé avec la guerre. Bien au dant que les guitares font résonner avec allégresse les airs napolitains. au Labrador contraire les tâches se sont multipliées et les difficultés vont croissan- La salle est immobile, silencieuse: ; tes. En effet, il n’est pas osé de dire que le Communisme travaille à le | RS TUE # À faillite des oeuvres catholiques. Moscou ne peut permettre à Rome Venite all agile, : | Québec. — Cinq religieuses de la| d'être connue, et surtout d’être aimée. Les frontières de maints pays “Barchetta DR De D an El Congrégation des Soeurs de l'Espérance| vivant derrière le rideau de fer sont fermées aux ambassadeurs de

‘Santa Lucia, Santa Lucial | “ont quitté Québec à bord du “North|l'amour fraternel. Dans la guerre froide le Kremlin veut la victoire. Pour arriver à ses fins, le Comintern utilise tous les moyens. La pauvreté n’est là que pour

Pendant que les deux petites frimousses brunes nous tiennent sous" Pioneer” à- destination du vicariat apos- le charme de leurs voix, je sens, pour ainsi dire, que c’est l'âme de tolique du Labrador. Son Excellence Mer l'Italie qui vibre dans ces chants de folklore. Et je me demande pour- Lionel Scheffer, vicaire. apostolique au x arn . Com L quoi, dans nos milieux français du Canada,‘nous n'accordons pas, nous Labrador, accompagnera les mission-| catholiques du monde, les militants de l'Eglise peuvent contribuer à la aussi, une plus large part à notre riche répertoire, au Jieu de nous'nuires. Notons que ces religieuses sont| victoire des forces du bien. Ils possèdent des armes invincibles, la abrutir avec des.airs ke “cow-boy” de :troisième classe, du “jazz” et.les ‘premières à aller s'installer dans ce prière et la charité. En cette Année Sainte qui se refusera de répondre du “boogie-woogie”, qui ne”valent pas’cinq- sous. Je devaisressentir. vicariat. . {à l'appel du Chef et d’approisionnér l'arsenal de Rome. Faite laumône

(ou peut-être le grand-père), deux hommes d'âge mûr et deux fillet-

tes qui peuvent avoir respectivemen grosse moustache retombante, à la mode de T0 : — un pape, Il tient: dans'sés mains un CUrIeux instrument de musiqu que je vois pour la première fois: on dirait une sorte d tirer des:sons, il le porte à sa b

mine de. cracher dans l’ouverture.

€,

bonne fortune d'assister, à Madrid, à une soirée de folklore espagnol. *ance s LT de : es an nr da Señons-nous donc -les seuls à "mépriser nos richesses spirituelles et à dans les hôpitaux ou les cliniques. C'est|que ca oliques se doivent de pinatee à la guerre froide. | ‘singer bêtement nos Voisins américains ou anglais, dont la culture n'est afin de répondre à ce but qu'ellesse dii-| Les catholiques du Canada auront

sûrément pas meilleure que la nôtre.

Pour moi, je n’oublierai pas de sitôt, Amalfi, ses paysages, ‘sa mer.

si:

MER ee + blon. ‘“ ‘*

el... in cit (à suivre) 7 7" bien les catholiques canadiens ‘comprennent leur devoir. - à mi e e ee | ; ie L À ju ne

être exploitée, elle est une arme que le communisme sait utiliser. Les

les mêmes impressions, quelqués’ semaines plus tard, alors que j'eus la. Fondées en 1820, les Soeurs de PEspé-|de la prière et faire laumône des biens, voilà quel est le devoir des . U ance s'adonnent aux soins des maladés| catholiques du monde entier. Voilà comment, les canadiens, ‘en tant

oëcasion en septembre prochain‘ : gent au Labrador. A leur arrivée dans| de faire leur devoir lorsque leurs archevêques et leurs évêques ‘lan- cette contrée, ellés prendront charge du|ceront une grande campagne de souscription‘ en faveur des oeuvres .. : nouvel hôpital de Lourdes, de Blanc-Sa-! de charité du Très Saint Père. Nos chefs: religieux verront alors .com-

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La Survivance Hebdomadaire publié tous les mercredis à 10010-109e rué, Edmonton, Alberta 5

Fondé le 16 novembre 1528

Journal indépendant en politique et entiérement con- sacré à le cause religieuse et nationale.

Bédacteur en chef: P.-E. Breton, om.

PRIX DE L'ABONNEMENT: Provinces de l'Ouest: 82.00 par an; Etats-Unis et Québec: $2.50 par an; Europe: #5.00 Dar an. Û Ë Organe officiel de “L'Association cansdienne-françalse ; | d&s l'Alberta” Autorisé comme envoi postal de la deuxième classe, Ministère des Postes, Ottawa.

MERCREDI LE 16 AOÛT 1950

L'envers de la médaille

Des associations et des journaux protestants ont fait entendre dernièrement des critiques amères, au sujet de la prétendue intolérance des catholiques. Toujours les èmes vieilles rengaines: l'Espagne, YIrlande, FItalie, le Qué- bec, selon eux, persécuteraient les minorités protestantes. À dessein, on a grossi et même faussé les faits. Mème après que ces calomnies ont été démasquées et réduites à néant, On con- tinue de les colporter. Il semble que l'on prenne plaisir en ces milieux à mettre en pratique la for- mule de Voltaire: “Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose” |

Nous aurons l'occasion de revenir sur ces faits. Pour aujourd'hui, nous voudrions compléter Tin- formation de nos détracteurs, leur montrer Yen- vers de la médaille, qu’ils prennent. bien soin de laisser dans l'ombre. On verra clairement que la persécution des minorités religieuses, c'est dans les pays et les milieux protestants qu elle existe. Et elle s'exerce contre les catholiques. En veut- on la preuve? Citons quelques faits. :

Angleterre.— L’Anglicanisme est reconnu offi- ciellement comme religion d'Etat. Le Roi et le. Chef de l'Etat doivent y appartenir. Pourtant les protestants crient bien fort pour que toutes les religions soient mises sur le même pied. D’au- tre part, les catholiques sont obligés de lutter

our conserver leurs droits scolaires. Le seul

ait que la princesse Margaret à rendu visite au Pape a soulevé, l'an dernier, une vague de fa- natisme dans les milieux protestants d'Angle- terre. Où est en tout cela la tolérance religieuse?

Bermudes. — Le gouvernement des Bermudes vient de refuser aux catholiques le droit d'ouvrir une école à leur propre frais. La pétition était signée par 1,900 catholiques; les Soeurs de la Charité acceptaient d'enseigner. Malgré toutes les démarches, cette colonie, où la majorité est anglo-protestante, refuse aux parents l'exercice de leurs droits naturels et religieux.

Etats-Unis.— Pour donner un enseignement conforme à leur conscience, les catholiques amé- ricains sont obligés de bâtir des écoles de leur

ropre argent, tout en continuant de supporter Tes écoles publiques. Ils paient double taxe. Et

ar dessus le marché, alors que les élèves des res publiques sont transportés gratuitement, aux frais de l'Etat, on refuse ce privilège aux petits catholiques. Cette campagne d'ostracisme est menée par les sectes protestantes. :

Suède. — Ce pays protestant ne reconnait cOm- me religion que le luthéranisme. Les catholiques n’ont pas le droit de remplir de fonctions pu- bliqués; ils ne peuvent pas enseigner dans une école; ils ne peuvent pas se marier à moins de faire publier les bans dans une église luthérien- ne; aucune personne ne peut se convertir au Ca- tholicisme avant d'en avoir obtenu la permis- sion d’un ministre luthérien. Qui donc persicute les minorités religieuses?

Norvège. — Dans cet autre pays protestant, Ja situation religieuse est analogue. Les catholiques ÿ sont sommis à toutes sortes de vexations et de lois persécutrices. |

Canada.— Mais nous n'avons pas besoin d'aller bien loin pour avoir des exemples d’'intolérance religieuse. Nous en avons sous les yeux dans notre pays. Le contraste est frappant entre Qué- bec, où la majorité est catholique et française, et les autres provinces, où la majorité est anglo- protestante. On se rappelle la déclaration que l'Episcopat canadien faisait il y a quelques an- nées. Seule la province de Québec, affirmaient nos Evêques, accorde un traitement juste à ses minorités. Dans les autres provinces, ce sont les “inégalités flagrantes” dont souffrent les mi- norités religieuses et raciales. Et il n’est pas be- soin de remonter bien loin dans le passé: les persécutions continuent de plus bel de nos jours; il faut être endormi, aveugle ou de mauvaise foi pour ne pas s'en rendre compte. |

Colombie canadienne.— Un prêtre catholique

. vient d’être condamné à l'amende, parce qu'il n’a pas voulu se soumettre à une taxe scolaire in- juste. Les autorités civiles refusent de reconnai- tre le statut des écoles catholiques. Où est la

lérance? | - hr Nous savons comment en Alberta on traite la minorité catholique et française dans les écoles. On y viole ouvertement les droits de l'Eglise et des parents. Et c’est la bureaucratie centralisatrice d'Édmonton qui veut, en éduca- tion, faire la pluie et le beau temps, aidée en cela de quelques inspecteurs fanatiques qui outre- assent leurs prérogatives; aidées aussi de la âcheté de trop des nôtres.

Saskatchewan. — La loi édictée par un gouver- nement anglo-protestant fanatique défend de susprendre des crucifix dans les écoles catholi- ques; elle défend aussi aux religieuses enseignan-

-tes le port de leur habit religieux à l'école. Belle

lérancel

ah Le statut légal des écoles catholi- ques et françaises est encore pire que celui de Y'Alberta.

‘Ontario. — Célèbre par son fameux réglement XVII, l'Ontario pratique encore aujour hui la

discrimination. Les écoles séparées crèvent de faim parcé que la majorité anglo-protestante leur ‘vole leur juste part de taxes. . Ù Provinces maritimes. — Là aussi, on refuse aux . minorités catholiques et françaises le plein exer-, cice de leurs droits scolaires. … HAS RU QE TU ct é Avant donc de lancer des reproches en l'air contre les catholiques, les associations. et les journaux protestants feraient bien de regarder : | l'envers de la médaille. Et s'ils veulent être hon- “hôtes ils diront aussi le traitement généreux dont | jouissent les protestants : en.plus d'un endroit...

‘Ainsi en Espagné, où sur une population de plus

de 22 millions on trouve à peine 18,000 pro- testants, ceux-ci ont cependant plus de 200 églises, où ils pratiquent librement leur religion. Les journaux ne mentionnent jamais ces faits. A Québec, tout dernièrement, les écoles. pro- testantes de Montréal recevaient du gouverne- ment provincial (catholique et français) un.oc- troi spécial de $1,090,762.00. Rémarquez .bien: plus d’un million pour les protestants .de Mon- tréal seulement.

Plutôt que de donner crédit à qui de droit, les journaux anglo-protestants préfèrent taper sur le dos de Québec et laisser croire que les: minorités y sont persécutées par les catholiques.

: Un autre fait que les journaux passent sous

silence: la Commission scolaire de Montréal a inauguré dans ses écoles des cours pour permet- tre aux Néo-Canadiens d'apprendre leur langue maternelle. Désormais les Italiens, les Polonais,

‘les Ukrainiens, pourront recevoir une éducation

dans Jeur langue. On sait quel traitement de fa- veur reçoivent, d'autre part, les Anglo-protes- tants du Québec. Quelle province à majorité

anglaise peut se vanter d’être aussi juste et tolé- rante?

KE % %

Les journaux jaunes ont fait grand bruit au- tour de quelques incidents survenus à Shawini- gan, Val d'Or et La Sarre, où les Témoins de Jéhovah et les Baptistes avaient provoqué les catholiques et même défié les autorités civiles. Comme d'habitude ces journaux n’ont montré qu’un côté de la médaille et laissé croire que les catholiques étaient intolérants et persécutaient les minorités protestantes. Ces jours derniers, (nous le notons avec plaisir) l'Edmonton Jour- nal ädmettait, un peu timidement, que tous les torts n'étaient pas du même côté; que certaines. sectes protestantes cherchaïent toutes les occa- sions de poser au martyre: qu'elles s'écartaient même de la bonne voie pour causer du trouble à l'autorité. Cette admission, de la part d’un journal qui n’a aucune amitié particulière pour nous, est révélatrice. Les yeux s'ouvrent]

Puissent-ils voir enfin l'envers de la médaille?

P. E. B.

En lisant les journaux

Une grande oubliée

L'une des plus grandes faiblesses dans les so- ciétés actuelles, c’est la diminution du sens de là responsabilité personnelle et de l'effort. De plus en plus, les gens ont tendance à glisser dans une apathie collective et à compter sur les au- tres pour le règlement de leurs problèmes. C'est ce qui explique partiellement l'emprise croissante que prennent les gouvernements dans la vie économique et sociale et l’aspiration gé- nérale vers une sécurité qui serait l'oeuvre pres- que exclusive de l'Etat. -

Afin d'arrêter cette dégringolade apparem- ment irrésistible, car elle est chargée de toute la force d'inertie de la masse, le meïlleur cran d'arrêt consiste sûrement dans le réveil de l’es- prit de sacrifice et l'organisation démocratique de l'entraide sur Ja base de l'initiative privée. Pour cela il faut aider les individus à retrou- ver la confiance en eux-mêmes qu'ils ont per- due, et les améner à reprendre conscience de leur dignité. Les Caisses populaires Desjardins, coopéra- tives d'épargne et de crédit, s’aquittent magni- fiquement de cette tâche. Après cinquante ans d'existence dans la province de Québec, elles groupent actuellement plus de 600,000 socié- taires dans plus de 1100 caisses locales. De tels résultats sont un témoignage splendide de la valeur, de la possibilité et de la fécondité de l'épargne populaire. . | En plus de développer cette habitude morali- satrice de prévoir et de se maîtriser soi-même en économisant, les Caisses populaires -sont une excellente école de tormation civique et démo- cratique. Elles font accéder les petites gens à des fonctions et à des responsabilités qui leur semblaient auparavant au-dessus de leurs capa- cités. Grâce à ces institutions, les sommes épar- gnées par les classes laborieuses restent à leur disposition et sous leur contrôle, ce qui permet l'organisation d’un crédit sain, efficace et dis- cipliné. :

Voilà pourquoi le Congrès international des Caisses populaires qui aura lieu du 24 au 27 août

tenaire de fondation des Caisses populaires en Amérique, est ouvert à tous ceux qui veulent travailler à l'instauration d’une économie vrai- _ment humaine.

Bilinguisme

Le Devoir, — Le Western Star, de Corner Brook, Terre-Neuve, publie dans son numéro du 21 juillet en éditorial une note qui mérite d'être soulignée. Le rédacteur dit que des Cana- diens ont parfois considéré le bilinguisme com- _me une malédiction pour notre pays, mais que les événements actuels attestent que l'aptitude à parler deux langues représente une valeur. Et il signale le fait que les gens de la province de Québec, parce qu'ils sont plus bilingues que les autres Canadiens ont été employés en grand nombre par les Nations Unies.

En principe, aucune des Nations Unies a

. droit à un certain nombre d'emplois à Lake Success. Or non seulement le Québec prend-il -

Ja grosse part des postes qui reviennent au Ca- nada, mais le Canada reçoit plus que sa part, pour la raison qu'on a besoin d'employés bilin- gues. À : C'est assurémént là une considération acces-. soire et bien secondaire par rapport aux prin- cipes en jeu dans le bilinguisme du Canade, mais cet argument pragmatique ne manque pas d'éloquence, surtout auprès de nos concitoyens de langue anglaise. Le ait qu'il est signalé par

un journal anglais de Térre-Neuve est de bon

ane pour la minorité françäise. de cetté nou- ve

1950, en même temps que les fêtes du cinquan-

e province canadienne. D'ailleurs, toutes :

les’ provinces ônt des minorités de langue fran- çaise plus ou moins importantes; il ne tient qu'à,

ces provinces d'accorder à leurs minorités fran-

gaises la latitude qui leur permettra de. conser- ver et de développer d'un bout à l’autre du:pays: |]. LE. Je bilinguisme dont profite surtout le. Québec. || 10609-104ème avenue

La Survivance Etablissement rural

- Problèmes de peuplement

12 méthodes de ‘travail éprouvées, des foyers de cette sorte constituent des de mire qui facilitent grandement de leur entourage l’accomplis-

Le recrutement pour les terres neuves n’a jamais été une tâche facile, et cela se conçoit aisément. La transplantation points dans un pays parfois éloigné suppose jaux gens chez les partants des sacrifices évidents: |sement

a améliorée sensiblement; rupture des |lent à leur patrie d'adoption. liens paroissiaux avec les parents et ses Problème des célibataires connaissances; incertitude qui accompa- j

gne toute entreprise nouvelle en pays! peu connu. Or personne ne s’embarquera de gaieté de coeur dans un projet, si al- léchant soit-il, dès qu'il y entrevoit «du renoncement de l'abnégation personnelle, C'est dire que la persuasion aura des effets limités sur les candidats à la colo- nisation, à moins que ceux-ci soient cons- |

cients du devoir qu'ils ont de DR tir à une transplantation lointaine, parce

de e a on à . qu'il faut de nécessité occuper autant de us stinctes ce S Eres que possible avant que d'autres,

able au du Den pue RE énaat Gone à 26 come où À dans la plupart des cas sérieux, le en none langue, ne veuillent faire jeu argument qui réussit à faire tomber les be ee Ce 4e oppositions que tout naturellement l'on droit. Or l'un :des nes P roplenes Le édifie pour se soustraire à la nécessité petplen Un ne 2 Re de se sacrifier pour les siens . ie DOVE Le solution équitable, ; : | lc'est celui de faciliter l’émigration à la

Pourquoi on se décide . .. | fois d'un nombre égal de jeunes gar- L'émigration vers les régions plus neu- çons et de jeunes filles. L'on fait parfois ves de notre pays s'inspirera parfois du le reproche que dans certaines parties besoin qu’éprouvent les anciens fils du de nos pays neufs la masse des nou- sol, devenus citadins ou villageois, de veaux venus sont des célibataires qui ne retrouver latmosphère paisible de la parviennent pas, à la suite de leur instal- campagne et de soustraire leur famille lation, à y attirer des compagnes. Plu- aux aléas connus des prolétaires. Les dé- sieurs paroisses plus jeunes de l'Ouest cisions seront alors rendues plus faciles canadien et même de FOntario-nord, parce que les aspirants laisseront moins souffrent de cette lacune, en dépit des de bons souvenirs derrière eux; ils s’at- efforts louables de nos bons curés qui tacheront même davantage à l'inconnu, certes ne ménagent guère leurs encoura- pour peu qu’on leur laisse entrevoir des gements à la vie conjugale, même chez perspectives rassurantes. Et puis il y a les sujets les plus endurcis. Il est évi- les nombreux fils de cultivateurs ayant dent, et cela se conçoit, que Yon ne bà-

Québec impose presque la bonnes intentions qui se manifestent, premier échec passager, seront tentés

d'abandonner la partie: L'on a besoin de tous les éléments susceptibles de consen-

atteint l’âge de s'établir, mais pour des tit pas des paroisses avec des célibataires,

raison d'ordre pécuniaire surtout, ne même qu'ils réussissent admirablement peuvent envisager la possession d’un bien du point de vue strictement écono- beau bien dans leur paroisse d’origine mique.

ou ses environs, et qui décident de! Certains prétendront que cette égali- prendre le chemin des pays neufs. Dans sation des sexes finira toujours par s’opé- la plupart des cas leurs parents, bien rer avec la venue dans les paroisses nou- installés sur des fermes attrayantes, ont 'velles de familles complètes qui habitu- depuis plusieurs années dépassé la pé- ellement comptent plusieurs jeunes filles. riode propice à une transplantation au Cela est vrai dans une certaine mesure. | loin. Profondément attachés à l’agricul. Mais depuis presque toujours l'on invite‘ ture ces jeunes veulent en faire leur tout mode de vie et préfèrent, en raison de les qui comptent plusieurs fils, car ce, la modicité de leurs moyens, commen-'sont eux en réalité qui fonderont plus cer au bas de l'échelle, dans des endroits tard des foyers, et qui élargiront du mé- susceptibles de leur offrir et des terres me coup les horizons du Canada fran- à très bon compte, et de vastes perspec- | Sais agricole, Et là où jes fils l'empor- tives de réussite, Beaucoup de ces sujets tent en nombre sur les filles, il est en-:

sont on ne peut plus intéressants; ils tendu que cela diminue d'autant les proviennent de véritables souches ter-Ichances des célibataires établis de trou-

riennes, et leurs dispositions rejoignent ver des compagnes. L’on voit tout de le besoin que l’on éprouve dans les ré- {suite le danger qui se dessine dans cer- gions agricoles les moins développées tains coins où des jeunes gens désireux du Canada français des gens robustes |de fonder leur foyer, s’allieront à des rompus au travail, et désireux à la fois filles catholiques mais étrangères à no- d'accomplir au mieux la mission qui leur:tre langue, et même, ce qui est pis, à est dévolue, N'ayant aucune crainte des‘des protestantes. C’est pourquoi lon ne contretemps que la vie réserve à tous, | doit pas se surprendre de constater sur- ils forment des contingents intrépids qui tout dans l'Ouest canadien, des mariages donnent des poussées salutaires au dé-'mixtes qui la plupart du temps ne contri- veloppement de nos’ bastions français buent guère à solidifier nos positions dé- à travers le pays. jà assez précaires. ‘ Les meilleurs colons De tous les candidats à l'établisse-

il ést évident que les chefs de fa-ld’abord la rechercher dans l'intensifica- milles nombreuses sont les plus recher-!tion des efforts pour amener dans nos

La solution

chés parce qu'ils apportent aux paroisses paroisses nouvelles de l'Ouest canadien | nouvelles un facteur de stabilité abso- et de l'Ontario-nord, un plus grand nom- | lument essentiel au développement de bre de familles complètes, même de cel- | toutes les institutions qui forment pour les qui, strictement parlant, n'auraient | ainsi dire le bouclier de nos gens établis pas tellement besoin d'espace pour leurs | surtout à l'extérieur du Québec. Et le fils, mais qui consentiraient ce déplace: |

seul fait de l’arrivée de grosses familles ‘ment pour la solidarité de notre groupe

. un coin ou dans l’autre, laisse tout ethnique dont la mission très élevée . Le présager pour quelques années comporte le peuplement de tous les es- e KR un nombre surprenant d’établisse-'paces de terre accessibles, et que l’on

ment individuels. Porteurs de traditions, ‘doit autant que possible conserver à l’a-

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de leur tâche quotidienne, de abandon d’une propriété familiale qu'on |même que l'attachement toujours trop

même chez des gens qui plus tard, au

1 |vantage de l'Eglise. Ensuite il y aurait, lieu de faire des tentatives du côté des, fils de cultivateurs qui songent à aller, is'établir au loin, à l'effet de les amener à pousser résolument leur projet de mac! riage, lequel devrait aboutir dès l'instant ‘où ils se seraient fixés sur la terre dans Jeur pays d'adoption. Aïnsi Von s’assu- rerait que des jeunes filles de chez nous,

‘et en plus grand nombre, participeraient |

‘à l'entreprise si essentielle de l’établisse- ment extra-provincial. D'autres projets ont aussi été mis de VPavant et selon lesquels Fon essayerait de s'organiser pour faciliter, dans des

Mais notre besogne d'élargir davan- Le fianço-catholiques de l'Ouest et|

tage nos cadres agricoles à l'extérieur du du nord d'Ontario, le séjour pendant nécessite - d'accepter pour du comptant toutes les

quelques mois de Langée de plusieurs québecaises que l’on inviterait là pour prendre une meilleure connaissance des territoires à coloniser. L'on aurait même considéré la possibilité d'occuper ces jeunes filles à un travail rémunérateur durant leur stage dans les régions nou- velles, de préférence par voie de l'arti-

MERCREDI 16 AOÛT 1950

tribuerait à nos québecoises une trop large part d’égoisme. Nous sommes plu. tôt d’opinion que si un parcil mouvement n’a pas eu chance de se, réaliser jusqu'à présent, c'est parce que nos institutions féminines et notre population en général n'ont pas été suffisamment saisies de ce problème dont le règlement comporte as. surément des sacrifices personnels, mais réserve aussi des compensations telle. ment consolantes,

Souhaïtons que cet aspect de l'établis. sement rural soit davantage examiné et étudié dans nos paroisses agricoles. Car il est sûr qu'une fois la situation mieux connue nos familles voudront y remé. dier avec leur empressement et leur gé- nérosité traditionnels.

Marc KR. MEUNIER Service de la Colonisation aux Che.

mins de fer Nationaux du Canada.

sanat. Lorsqu'on y pense, c’est extraor- Idinaire toutes les initiatives qui pour- raient être entreprises si seulement l’on

ien venait à susciter l'unité de dessein

et d'action entre les paroisses qui ont be- soin de population et Îes autres qui pour- aient en fournir à profusion.

| Qu'en pensez-vous!

Ces propos ne manqueront pas de faire gloser nos lecteurs. Il n'en reste pas moins que le problème exposé aussi suc- cinctement en est un de grande réalité, et de conséquence sociale évidente, Ce‘ n’est certainement pas en l’ignorant au’-| on viendra au secours de l’entreprise si essentielle de l’essaimage des nôtres vers! iles bonnes terres à l'extérieur du Qué- bec. Au contraire, il va falloir que de! plus en plus l’on se préoccupe de cet as- pect primordial de l'établissement, sans

quoi beaucoup de nos paroisses promet: |

teuses végéteront longtemps à cause du:

[manque d'éléments féminins adéquats.

‘très loin, en raison précisément du con- fort dont ellés jouissent chez elles, de consentir à partager ainsi la vie de ceux ‘qui besognent et qui se sacrifient pour l'expansion de notre nationalité à la ‘grandeur du pays. Nous ne sommes pas DIÈS à partager ce point de vue qui at-

Quelques-uns prétendent que nos fem- |

mes et nos filles du Québec seraient!

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MERCREDI 16 AOUT .1950

Feuilleton spécial

LEE TE à

E x) î

Mais qu'est-ce donc? .

visite des peaux-rouges. . .Ils se rap- prochent, ils s’arrêtent. D’un bond, Ma- drina se lève. Qui voit-elle à l’abord du camp. Nini. Et dans quel apparat. HN] est vêtu d’un complet blanc immaculé, confectionné de .couvertes à bordure verte: la jaquette s'ouvre sur une che- mise longue rouge vif à pois blancs. Ses longs cheveux noir jais sont tressés, en- trelacés de rubans verts et rouges. Au bout des.tresses se balancent des peaux d'hermine. Une bande perlée de jolis motifs couronne son front. Le gaillard s'est fait beau. Aussi, quelle peinture elle ferait d’un Indien aussi imposant! Mais les reconnandations de Guy lui revien- nent en mémoire, Nini s’avance “vers la tente et demande à Madrina: —Your man? (où est ton homme?) Celle-ci pointe vers la cuisine. Un au- tre Indien cause par signe avec Pat, De join, elle rémarqua la tenue peu recher- chée de celui-ci. Nini ne bouge pas, jette un regard autour de lui et tire de sa poche un paquet qu’il lui présente. Ce sont des mocassins perlés, De la main, cile lui fait signe de les déposer sur le siège de la voiture et le remercie d’une

Cet

La Squaw Blanche

Œar Marie-Emma Morrier)

£ -Un bruit de femelle. Madrina entr pas sourds. . .Un galop lui rappelle la'ses yeux percent }”

à la Survivance

-ouvre la tente, espace. La lune éclaire Je panache de l'élan et sa majestueuse i Carrure. Combien Guy aurait aimé une telle chancel. , .Aurait-il pu résister à la tentation de tirer? Alors tant mieuxl Mais quel dommage d’abattre une si noble bête! Son mari penserait: Voilà bien Ja femme, toute de sentimentalité. : L'homme pratique et gourmand répond: jAh! le bon régal pour la troupe rassas- .Siée de jambon et de fèves au lard! Vous Madame, qui ne vivez qu'aux légumes en conserve. . Son imagination vagabonde, .Le sommeil réparateur entrevu s’est éva-

Aou une fois de plus.

. Dès que le jour pointe, bzz bzz, les lhurlants! C'est un martyre de ne jamais jouir d’un repos. Aussi se voit-elle frip- pée, courbéc, dépourvue de charme et d'élégance. Le soleil, à l'horizon, se bai- :gne dans un étang strié d’or et de vermil-

lon. Dans un, décor presque semblable, [a s'était couché en boule de feu après june chaleur torridel Aujourd’hui, date du iretour de Guy, l'astre darde ses rayons brülants sur les hommes de l’équipe. Ils doivent être en marche; aux petites heu- res, la température est plus supportable.

| principe, en France

‘que. Mais le fait que l’Assemblée nation-:

M. et Mme Hector Boissonnault ont Paris. — L'assemblée Nationale a donné célébré vendredi le 25e anniversaire de au ministre de la santé, M. Pierre Schnei-|leur heureux mariage. C’est en effet le ter, l’autorisation d'interdire le coca cola:11 août 1925, année jubilaire, entre en France, mais le ministre a nettement | deux guerres, que Mgr Pilon bénissait laissé entendre qu'il. n’utiliserait pas ce les épousailles de M. Hector Boisson- nouveau pouvoir. inault et de Mile Fleurestine Loiseau; les Le. bill a été approuvé par 343 contre témoins étaient MM. Hormidas Boisson- 195. Il avait été rejeté auparavant à mault et Thomas Houle. En la joyeuse l'unanimité par le Conseil de la républi-!©Ccasion des noces d'argent, eut lieu É une grande réunion de famille à la salle

ale a voté une deuxième fois cette ee Up Grand nombre d'amis s’étai- ue lit -donne force: de IL jet unis aux quatre fils, Léon, Camille, Sans mentionner nommément le Cds OM Adolphe por complimenter cs cola, la mesure donne au ministre le pou-: Fete 1 pen Jones Lu po voir de prohiber les breuvages non ee . à Mesa Fille de cooliques que les autorités de la santé fa a es es nn de nationale jugeront nuisible à la santé.| UE den nes SAS DA NT

. 7 Te, , ter ses parents ce jour-là.

M. Schneiter déclara à l'Assemblée, nationale qu'il se servirait plutôt des; sommes autorisées par la mesure pour!

combatttre l'alcoolisme. Ÿ RIT RIVER M. J.-H. Perras a eu vendredi la vi- a _— site de l’'Honorable M. Edouard Rinfret, M. l'abbé Paul Gagnon, curé, après , ministre des Postes, dans le cabinet de M. avoir suivi les exercices de la retraite: St-Laurent, M. le Ministre était accompa- sacerdotale à Peace River, partait le 12 £Mé de Mme Rinfret, de leurs fils et de pour aller visiter sa parenté, avant de M. André Déchêne. Le groupe distin- faire le voyage de l’Année Sainte, à Ro-!gué a aussi honoré de presbytère d'une

Breuvage interdit en . j

é + +

Les religieuses du Couvent Notre- Dame sont actuellement en retraite an- nuelle, sous la direction du Rév. P. Du- ibois, OP. frère-précheur dominicain de | ja résidence de Prince-Albert.

+ * *

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| La “Survivance

remplacer l'abbé Brière parti lundi soir en avion pour Montréal. Il disait la mes-; se le lendemain matin à la J.O.C. de la’ rue St-Denis, Le 15 août il doit assister à l'ordination de deux Pères Jésuites-| Chinois, les premiers de la mission de: Suchow; Îles PP. Jean Tong et Joseph, Tseou. Le même soir il.ira à New-York: pour s'embarquer le 17. Dix jours en, mer, il y a longtemps que abbé Brière! n'est pas resté si longtemps à la même place.

+ A l'occasion du Sc anniversaire, une messe scra chantée le 16 août en mé- moire du regretté Mgr Maxime Pilon, P.D. et en reconnaissance pour ses 27. ans de zèle pastoral à Morinville . l

Î % & |

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Le même jour, M. Roland Gama-' che, fils de M. et Mme Camille Gama-! che, épousera Mlle Lina Labonté, fille” de M. et Mme Wilfrid Labonté. |

La semaine suivante, le 22, M. Omer‘ Pelictier de Legal, fils de M. ct Mme André Pelletier, convolera avec Mlle Stella Ricard, fille de M. et Mme Hec-' tor Ricard, de Carbondale.

À la fin du mois, M. Laurier Létour- neau, fils de M. et Mme Eddie Létour- neau entrera en société conjugale avec Mlle Thérèse Bélanger, fille de M. et Mme Elphège Bélanger (Héléna Lab- bé) de Rivière-qui-Barre. i

1 # % % !

A 2: j

Deux baptêmes ont sonné dimanche:

L'avion, surnommé le “Canuck”, a main-

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Que gotüte-t-il? C’est ce qui compte, après tout!

LES SACS DE THÉ

"SALADA

donnent une saveur parfaite.

Ils offrent une dent à S. S. Pie XII

Record de vitesse établis

par le ‘’Canuck’’ CF-100

Les habitants des îles Fidji ont chargé leur évêque, Mgr Foley, d'offrir, en si- gne d'hommage, une dent de baleine au Saint-Père. Les habitants de ces îles es- timent que ce cadeau est sans prix; la dent de baleine joue aujourd’hui encore un rôle très important dans leur vie pu- blique.

Sur la dent, ils ont gravé le texte de leur hommage, en leur langue et en la- tin: “Ce Kamunga, qui est très précieux chez nous, nous l’offrons, nous, les fidèles des îles Fidji, au ‘Très Saint-Père le

Montréal, — Le nouvel avion à réac- tion CF-100 a pércouru la distance Montréal-Toronto en 30 minutes et 10

secondes. On croit que c’est là un re- cord de vitesse jamais atteint encore.

tenu une vitesse moyenne de 638 milles à lhevure.

Ovila Riopel, née Aurore Goyette, est dé- cédée dimanche à l’âge vénérable de 84

me. Le RP. U. Robert, omii., le rem-! visite courtoise. Pape Pic XIT, en témoignage de notre

place durant son absence.

IM. et Mme Hector McDonald, une fille, ans. Elle était la mère des MM. Docteur ASS / + % % Patricia Irene. Parrain et marraine M. J.-H. Riopel, Armand et Arthur Riopel, vénération et de notre soumission 1950."

On annonce que M. l’abbé Lucien Ro- et Mme Jos. E. Krauskopf. ct Léon Riopel, de Mme Napoléon Rivet,| Les enfants offrent à leur Père ce + + | bert, fils de M. et Mme Raymond Ro- | M. ct Mme Ovila Riopel, une fille, Mme Fortier de Vimy, Mme Picrre Du-|qu'ils croient avoir de mieux.

La révérende Soeur Marie Augustin bert, sera prochainement promu à V'or- Lorraine Elizabeth. Parrain et marraine puis, et de Mme Albert Trottier, décé- s.g.c. qui a suivi le Cours d'été à Ed-!dre sacré du Diaconat. Un seul degré lui'M. et Mme Armand Riopel, grands-pa-' déc. Elle laisse en plus dans le deuil son monton se rendait à Joussard le 15 pour:restera à franchir vers l’autel qui fit la rents de l’enfant. l'époux agée de 90 ans, M. Grégoire À. suivre les exercices de la retraite annuel-ljoie de sa jeunesse. & #% i Deschènes, retiré à St-Albert. La petite | le, chez les Révérendes Soeurs de la Pro-| C'est le Rév. P. E.-O. Drouin, o.mi.| Il y eut aussi sonnerie de glâs Mme Lorraine baptisée tout à l'heure est de la! vidence.

inclinaison de la tête. Dans l'intention de le payer, elle va jusqu’à sa table, cher-; cher de la monnaie. L’Indien a suivi der-!gne dans le ruisseau gonflé par les pluies rière elle mais devant les pièces d’ar- récentes, sous un ciel pâli jusqu’au vert gent, il refuse de rien accepter et secoue jémeraude. À ses pieds, l’eau frissonne là tête d'un geste offensé. Il prend le ré-!sous la brise, court et rebondit sur les veille-matin et le porte à son oreille. Tout roches tintées de reflets du ciel. Ce dé- aussitôt, il aperçoit la carabine et veut cor, c’est ce. qu’elle avait rêvé au départ se rendre compte si elle est chargée. Ma- |moins les mouches. Toujours une ombre

1 semble à la Squaw que les aiguilles du cadran n’avancent plus. Elle se bai-

la Survivance est florgane des Canadiens français

drina pense au couteau tranchant qui brille près de l’encrier et véut s’en sai- sir; mais il la devancée et examine l’ob- jet en connaïsseur. La jeune femme qui, au cours de cette scène, n’a pas perdu | son sang-froid, sort promptement de lai tente avec des photographies à la un qu’elle agite sous les yeux de Nini. Ce dernier rejette le couteau et la suit, em- pressé. Elle se dirige vers le domaine de Pat, avec le chef à ses côtés. Le cheval, | l2 queue enrubannée comme les tresses | de son maître, est là tout près. La Squaw blanche dispose sur une souche les por- traits qui sont très réussis. Sans qu’un muscle de sa figure calme et composée trahisse aucune réaction, Nini prend la sienne. Madrina lui fait signe de l’accep- ter. Il a compris, De Ja tête aux pieds, sans un sourire, à la première visite, il la toise longuement. Puis il se met à mar- monner dans sa langue, des sons à peine articulée. Madrina croit saisir qu’il! veut être photographié avec son cheval. Fort bien, qu’ils se mettent en selle, lui ct son compagnon, mais à une certaine distance. Auraient-ils mal compris? Pen- dant qu’elle changeait la bobine, elle se retourne et voit surgir les deux cavaliers. | Nini ne fait qu’un bond de sa monture, pénètre chez elle, lui enlève le kodak, le tourne et le retourne. Veut-il s'assurer si leur vie est en danger? Finalement, il le remet à Madrina asez intriguée par le sans-gêne de ce primitif au regard d'ai- gle. En fronçant les sourcils, elle désigne | l'endroit près de la cuisine, où Pat de- meure invisible. Madrina place son hom- me dos au ruisseau et prend l’instantané. Nini descend de cheval, gesticule, retire de sa poche un grand mouchoir rouge, d'où s'échappe un peigne fin qu'il se hâte de faire disparaître, le noue au- tour de son cou, marmotte quelques mots, remonte presterment en selle et s'éloigne. à toute vitesse. ‘ |

Quel soulagement pour la Blanche un peu naive! La paix se rétablit lentement,

dans son coeur tout bouleversé. Pour-! quoi donc serait-elle inquiète? Guy ne.

au tableau. :

Elle se coiffe de son mieux, et passe une robe de toile brune. Sa coiffure n’a pas le chic des chichis; mais ici, ce serait par trop ridicule. A Winnipeg, si elle vit jusque là. . .Eh bien! on s’en promet.

Madrina entend des voix. Elle court et s'arrête, ausitôt. Non, il faut maintenir une certaine dignité, pense-t-elle. So- yons calme devant ces messieurs, jouons à l'Anglaisel Son coeur bat à coups re- doublés, pendant que l’équipe avance. Les hommes, fortement bistrés ne res- semblent guère à des blancs.’ Ils sourient poliment, courbés sous de lourds far- deaux. Voilés, .leurs habits presque en loques, ils ont l'air de chemineaux, mais ne ‘s’en soucient. Un à un, ils entrent sous la tente où la chaleur, longtemps renfermée, en fait un four.

Les chevaux, chargés comme des cha- meaux, viennent à pas lents, Prince hen- nit, tout gai. Elle cherche Guy. Vien- nent Brenot et Cecil, aux épaules re- courbées. Guy s'appuie au bras de John- ny. Saisie d’inquiétudes, elle s’élance au-devant d'eux.

——Qu'y a-t-il, Guy, tes yeux sont bandés?

—Peu de chose, chérie; les mouches noires ont voulu me les manger.

—Pauvre malheureux! N’avais-tu pas une voilette? °

—Il fallait bien l'enlever au théodolite.

Ne t’alarme pas; avec tes bons soins, |

l’inflammation disparaîtra. Cecil est plus mal que moi, son cou est infecté de fu- roncles. Le pauvre diable s’obstinait à travailler quand même; il a bataillé en

véritable soldat. La semaine prochaine,

nous resterons deux jours au repos. Tu veux bien?

—Comment donc! Je ne désire que cela.

Johnny, votre genou est redevenu nor- al? $

—Tout à fait, grâce à vos bons soins,

Madame.

lui a-til pas répété que ces gens sont —Madrina, que ferions-nous sans toi?

inoffensifs? Oui, mais. . .ce regard de feu en inquiéterait plus d’une. . .

Pat, contrarié de cette invasion, garde un air mécontent. | —J'aimerais savoir pourquoi ces gars viennent me déranger.

—Le Chef Indien désirait être photo- graphié en beau costume très propre. Quelle prestance, quel beau type à pein- dre! LME, —L'autre, le malpropre, voulait de mes galettes. Il mangeait des yeux les plus appétissantes sur la table.

—-Vous lui en avez offert?

—No sirl Ce sont des gourmands, ces gens Jà, Ils me tiendraient occupé à les nourrir et que dirait mon Chef? ——Votre Chef ne le vous reprocherait pas. Il connaît les devoirs de l'hospitalité. Si Nini revient, je vous prierai de lui of- frit un biscuit, | —À ne me reste presque plus de farine. —Déjà? à

Madrina sait à quoi cela peut conduire.

En juillet les nuits ne sont guère que de quatre heures, ce qui fait des soi- rées interminables, par la chaleur acca- blante: Le camp sue le vide, la mono- tonie mortelle. Ce. soir-là plus que-jamais déterminée ‘à -jouir d’une nuit paisible et complète, elle bouche ses oreilles d'ouates. Les hurlements des bêtes ou autres bruits, rien ne l’éveillera,

Ce fut le craquement de bois sec qui vint rompre son sommeil. Des pas lourds s'acheminaient vers sa tente. La carabine est à sa main;, sur la table il y a quel- ques cartouches. Son régard fixe l'entrée; elle ‘attend, déterminée à’ faire face au pire. Sur le canevas, près.de son côté se. dessine péu à'.peu une forme qui monte, rnônte grossie par la silhouette. Est-ce un éléphant, un chameau ou quoi donc? Serdit:ce Priñce échappé du camp volant? Nôn, il atirait hexni. .…. La forme à panaché passe, s'éloigne vers le ruis- Seau. On clapotte dans l'eau, à dix pas de là; c’est l'animal qui traverse. Su- bitement, un mugissement formidable fend lair; ‘c'est l'appel de l’orignal à sa

Tu es une merveille.

—Tes paroles élogieuses me causent un véritable bonheur. Parfois je me repro- che de t'avoir succomber par trop d’insis- ltance. Je me sens inutile Johnny, ren- !dez-vous à la cuisine; mon mari s’ap- puiera au bras fort de sa Squaw. Veuil- lez m'apporter de l'eau bouillie. Allons, Guy, rassure-toi; en quelques jours tu seras guéri.

Linfirmière, après avoir baigné Îles yeux, souleva délicatement les paupières enflammées et infectées. Il fallut intro- duire une graine de lin dans chaque oeil, pour extirper les petites mouches en dait dans sa pharmacie les médicaments

[de premiers soins que sa grand'mère lui avait recommandés. è _Grand-maman, ‘avait-elle demandé, à quelle science devez-vous votre bonne santé?

—A la sagesse, ma petite, d’user des pré- ventifs plutôt que des curatifs. ‘ Aiel en réserve, de la moutarde sèche, des graines de lin, de l'huile de ricin.

Ce qui portait Madrina à grimacer et lui répondre d’un ton malicieux; —Oubliez-vous les désinfectants, Grand”- mère? ‘

Tu ne m'as päs donné le temps de mentionner l'acide boïique et l’iode; comprends, ma belle, que l'on n’élève pas seize beaux enfants sans avoir ac- lquis des connaissances. Mets-les à profit. Les infirmières, au contact des savants,

apprennent une foule de noms ronflants, |

profitables aux grands malades dans les

hôpitaux; Maïs dâris là brousse?. : :Em-|

porte les miens, et'ton Güy se portera

comme un charme.

Chère : bonrie gränd'mèfe dé. Cÿr- ville! Ses huit fils et huit fillés furent d'honorables paroissiens. Le nombre des descendants _ne se : compte plus, il sé chiffre dans les centaines. Ses conseils

en médecine prouvent la grandeur de sa

sagesse. ati de (4 suivré)

tassées près de la cornée. Madré gar- |.

du Collège St-Jean, qui vint dimanche Grégoire M. Deschènes, autrefois Mme Sième génération.

de l’Alberta.

AUX USAGERS DES CHEMINS

ET AU PUBLIC CANADIEN EN GÉNÉRAL

Il est très important que vous sachiez pourquoi la direction des chemins de fer canadiens croit qu'une grève des em- ‘ployés de chemins de fer ñe s'impose pas du tout.

Notre conviction est d’autant plus forte que nous avons fait aux employés concernés une offre équitable d'augmen- tation de leurs salaires et d'amélioration de leurs condi- tions de travail qui, si elle était acceptée, nous coûterait $37,000,000 par année, si elle était accordée à tous les

employés.

Une grève des employés de chemins ée fer ne s'im- pose pas. Au contraire. Si l'on tient compte de la situation internationale présente, on se rend compte qu'elle mettrait en péril la sécurité du pays. Comme l'ont dit les présidents du Canadien National et du Pacifique Canadien dans un message conjoint adressé jeudi dernier aux représentants des unions de leurs employés:

“La situation présente... impose une véritable tension nerveuse à tous ceux qui sont concernés en un temps où il nous faut dépenser toutes nos énergies et consacrer toutes nos pensées au pro- blème de la guerre qui nous menace et à l'état d'urgence nationale qui découlera des décisions prises dans ces circonstances, Elle place le chemi- not dans un état de malaise et d'incertitude, ‘parce que nous sommes moralement œærtains qu'il ne veut pas quitter son travail en un temps comme celui-ci, quelles que soient les questions

Nous avons de plus accepté l'obligation morale de mettre en vigueur, en temps opportun, la semaine de 40 heures de travail. Et nous avons démontré pourquoi en toute justice envers l'industrie canadienne et tous ceux qui emploient de lä'main-d'oeuvre nous ne pouvions mettre la semaine de 40 heures en vigueur actuellement.

Si nous agissions autrement, nous nuirions à l'industrie en général, à tous les employeurs ét employés.

Les chemins de fer, après avoir vu deux offres rejetées par les chefs unionistes, en font une troisième et dernière

qui donne à leurs employés le choix suivant:

une augmentation de 8/2 cents l'heure, en moyenne, ou

une diminution d'heures de travail par semaine qui en porterait le nombre de 48 à 44 et une aug- mentation de salaire de 9.1% de manière que l’en- veloppe de paye contienne la même somme ou, dans certains cas, davantage. |

Les chefs unionistes n'ont fait jusqu'ici aucune conces- sion, refusant de changer le moindrement leurs revendica- tions — une semaine de travail de 5 jours, 40 heures, rapportant le même salaire net et des augmentations de 7 et 10 cents l'heure.

Les chemins de fer connaissent bien les problèmes que crée à leurs employés l'augmentation du coût de la vie et sympathisent avec eux. |

Mais ils savent, par contre, que des réductions dracon- niennes et injustifiées des heures de travail auraient beau- coup plus pour résultat de leur nuire que de les aider.

en jeu. Nous savons que cette opinion peut paraître diamétralement opposée à celle expri- mée par le vote de grève, ainsi que l'ont rapporté les unions, mais la direction des chemins de fer a une conception trop élevée de la loyauté, de la fermeté d'esprit et du sens des responsabilités de ses employés pour ne pas croire qu'une grève ne . puisse créer une situation angoissante pour eux. Cela ne veut pas dire qu’ils refuseront de se mettre en grève si les chefs des unions leur demandent de le faire, mais comme nous l'avons déjà dit, une telle grève serait une cause de soucis et de remords.”

On ne peut exagérer l'importance des chemins de fer dans l’économie du Canada. Et cette importance s'est affirmée plus que jamais durant la deuxième : guerre mondiale. Sans la loyauté et les efforts infa- tigables de tous les employés de chemins de fer, . l'oeuvre de guerre du Canada n'aurait pas été

accomplie. Il en serait de même aujourd'hui. Com- me l'ont énoncé nos deux présidents:

“le public en général est incommodé et les arrangements commerciaux deviennent incer- tains aussi longtemps que persiste la possibilité d'une grève. D'autre part, une grève des chemins de fer paralyserait à un tel point notre économie, qu'elle nous empêcherait pendant longtemps de prendre une attitude ferme dans: les affaires internationales ce qui serait un grand ‘réconfort ‘ pour l'ennemi’. Par conséquent, la direction des chemins de fer croit fermement-que le problème doit être envisagé résolument, afin que tous les intéressés, les travailleurs, la population et le gouvernement, de même que les fraternités et la direction des chemins de fer, sachent de façon précise ce qui les attend. Le temps est venu de faire disparaître eette incertitude qui empoisonne notre existence quotidienne.” |

TENANT COMPTE DE CES REMARQUES, LES CHEMINS DE FER ONT FAIT L'OFFRE SUIVANTE, LA DERNIÈRE VRAIMENT QU'ILS PUISSENT FAIRE. LE RÈGLEMENT. QU'ELLE PROPOSE METTRAIT LES EMPLOYÉS DE CHEMINS DE FER DANS UNE POSITION

EXCESSIVEMENT AVANTAGEUSE PAR RAPPORT À LA CONDITION DES EMPLOYÉS DES AUTRES INDUSTRIES,

L'offre finale, qui exclut les em

(8) SOIT à... : ‘(A) Unè-semaïné de t

VOICI NOTRE OFFRE [=

ployés des hôtels et des transports par ea,

. TOROMTO, HAMILTON & BUFFALO RAILWAY ONTARIO NORTHLAND RAILWAY

Lihifa is sent

Ou @)

qui concerne les empl | une base mensuelle, il y aura une entente suivant laquelle uns semaine de travail de cing jours pourra être accordée ment local -6st actuellement de moins de 44, à la condition service soient assurées jusqu'à concurrence de 44 Une augmentation par étapes dons les taux de salaire de bose .‘ réprésentant une dépense approximativement équivalente à celle : | qui est impliquée dans Île plan A. Cette augmentation, si elle était accordée à tous les employés; eoûterait aux chemins de fer $937,000,000 par année et enne de 8}4 cents par lreure.

és de bureau dont le solaire est établi sur

| x par arrange. dans les cas particuliers où le nombre d'heures de travail ue ss exigences du

représenteralt une augmentation moye

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FORT KENT

La semaine dernière notre curé se

—

Soie MERCREDI 16 AOU La Survivance ne

is'en va à Cardston. Nos sincères remer- n 7. tion offerte â Kaements à ces deux religieuses pour leur CGED

“dévouement à la paroisse. Nos meilleurs ! ;

souhaits les accompagnent dans leur nou-

_cier et Claude Michaud, ainsi que M. et ; Mme Adélard Gaucher de Wandering River.

BEAUMONT

Mme Veuve Alfred Leblanc a célébré

rendait à sa mission d’Holyoke, pour pré-' - parer les enfants à la première commu- ‘nion; notre séminariste Fernand Croteau J'accompagnait ainsi que quelques religi- euses qui lui ont prêté mainforte. ;

Ce dimanche-ci il se rendait au pèle- rinage de St-Joseph à Gurneyville; plu-, sieurs 1eligieuses et grand nombre de ses paroissiens l’accompagnaient.

4% # %

Depuis quelques semaines les coups de marteau retentissent aux quatre coins de nos chemins; c’est l'érection d’une nouvelle classe, ajoutée aux précédentes; un restaurant nouveau, qui sera la pro- priété de M. James Collins; un magasin moderne (avec résidence) qui rempla- cera l’ancien démoli et qui sera la pro- priété de M. Edwin Collins; l'érection d'un nouveau garage, propriété de M. Archie Ducharme, qui remplacera celui de M. Roméo Gaucher, détruit par le feu l’an dernier. Toutes ces construc- tions sont sous la direction de notre quasi architecte Léon Albert. ”

+ * # ! Lés familles Alphonse et Jos. Levas- seur ainsi que Madame Jos. Bouchard ont reçu la visite de leur frère, Levite,

M. Gérard Bourbeau a quitté ses pa- rents vendredi dernier après avoir passé quelques semaines avec eux.

M. Edgar Landry et Willie Levasseur, ainsi que leurs épouses se disent enchan tés de leur promenade à 1ä côte où ils ont visité de nombreux parents et amis.

Madame Roval Lapierre est revenue

de lhôpital en bonne voie de guérison!

après avoir subit d'assez graves opéra- tions.

M. ct Mme Fournier recevaient der- nièrement la visite de M. et Mme Garant du Manitoba, leur beau-frère et belle- soeur, qu'ils n'avaient pas revus depuis longtemps.

Est né à M. et Mme Gilbert Collins (née Jeannette Ducharme) un fils bap- tisé sous les prénoms de Joseph Adrien Bernard; parrain et marraine: M. et Mme Adrien Michaud, oncle et tante de l’en- fant.

Une légation du Canada devient ambassade

Ottawa. — Le ministère des Affaires

M. le curé Langevin a passé sa quin-

son 82ème anniversaire de naissance le zaine de vacances auprès de ses bons V°a# champ d'apostolat.

mardi 8 août; elle jouit d'une parfaite parents, à St-Vincent, Alberta. ! É s i ilfri : : NÉ 2 1

santé et demeure AVELESON fils Wilfrid, + OK isir le retour de la Révérende Soeur La-

sur li ferme; elle cultive un des plus M. et Mme Roger Létourneau sont re-

beaux jardins de Beaumont. En plus de verus de leur voyage de noces à Banff

mettre en conserve une quantité de légu-'et à Jasper. :

mes ct de fruits, de son jardin, elle en!

vend beaucoup chaque année. Nous hi:

æ + * Le 6 août, M. et Mme. Patrick Mahé souhaitons encore de nombreuses années ainsi que M.'et Mme Paul Cloutier fai-:

de vie, santé, bonheur, en attendant cette saient baptiser -leurs petites filles. |

grande récompense promise par Dieu. 2 dr |Révérende Soeur Turenne, supérieure du : ÉD Le 7 août, M. le curé Langevin bénis- Couvent, qui célébrait, mardi dernier, ses M. Rosaire Magnan a le bonheur d’a- sait, à l'église St-Alphonse d'Edmonton, noces d'argent de vie religieuse. Ad mul-

voir da visite de sa fille religieuse, Des- le mariage de M. Joseph Nault, fils de tos annos.

neige, de’ Louistown, Montana; elle re- M. et Mme Emile Nault, avec Mlle Ger-.

Ve des Trois-Rivières, où elle a pro-'maine Houle, fille de M. et Mme AIbEr :

\noncé ses derniers voeux. Pour l’occasion Houle. Les filles d’honneur étaient Miles! DONNELLY

un diner de famille eut lieu à la maison Yolande Nault, Jeannine Nault et Rita! <

paternelle, où les familles Magnan, Val- Houle accompagnées de MM. Léopold en rs

lée, St-Jacques assistèrent. Nos félicita-'Houle, Roger Houle et Robert Stack.! Les autorités de la Congrégation des

tions à cette belle famille, Une belle réception avait lieu au Club Soeurs de Ste-Croix donnent de nouvel-

+ « # |Mocambo à St-Albert, tandis que la dan- les obédiences à trois de nos religieuses:

Nos profondes sympathies vont à M.'se de noces avait lieu à la salle de M. la ne ee et EE

Adolphe Bich, qui demeure parmi nous Lamarche, à Legal. Après un voyage à Quéi EE és a . ne à Fee

depuis le printemps. M. Bich vient d’ap-! Toronto, M. et Mme Joseph Nault ha-:v * SRE Di ne it HE d L

prendre la mort de son jeune frère a'biteront à Legal. André reste dans l’Est où elle se rendai

Paris. | | + % %

| ldès juillet dernier. Ce sont de lourdes ‘+ * Li M. Omer Maurier mettra son autobus P©T

deux religieuses,

Nos meilleurs voeux s'adressent à la

\ tes pour Donnelly, car chacun avait appris à apprécier ces dévouées religieu-

M. et Mme Albert Rivard sont revenus à la disposition des paroissiens qui dési-

ses. Merci à elles de leur inlassable dé-

d'Édmundston, N. B.; il était accompa- CXtérieures annonce que le gouverner gné de son fils ment canadien a accepté une proposition du gouvernement cubain tendant à éle-

de leur beau voyage de Seattle, Wash.,

contents et très enchantés. 1

‘rent se rendre au pélerinage de St-Al-

bert, dimanche prochain. Le départ aura vouement.

# + +

M. ct Mme Georges Ducharme sont revenus de la ville avec un auto en très bonne condition, marque Plymouth, et deux camions qui serviront pour le trans-' port des enfants à l’école.

La plupart de nos élèves du grade XII ont le sourire sur les lèvres depuis quel- ques jours c’est qu'ils ont passé avec suc-, cès leurs examens finals. | î

| * + +

La famille de M. et Mme Henri La- combe est toute heureuse du retour de la Maison Mère des Soeurs Ste-Croix à Montréal, leur fille Yvette en religion Soeur Marie Yvette du Sacré-Coeur.

M. et Mme Aildeo Lemaire et Ray- mond sont partis en Saskatchewan pour rendre visite à leurs parents — on nous rapporte que la santé de M. Lemaire n'est pas très bonne depuis quelques temps. Tous nos voeux de rétablissement à Mme Arthur Roy qui a subit une grave opération a l'hôpital Générale d’Edmon-

ton. !

Louis Collins a laissé le petit village pour aller chercher fortune à New-West- minster C. C. puise-t-elle la favoriser dans ce coin, on dit que sa famille le re- joindra sous peu. :

M. et Mme Cyrille Desilets de Drum- heller rendaient visite à leurs parents Désilets et leurs soeurs et beaux frères Georges Blanchette, Roger et Paul Mer-

ver au rang d'ambassade les légations respectives des deux gouvernements à la Havane et à Ottawa.

—— — ee me +

La découverte de Chip Lake, Alta.

La compagnie “Select Oil”, dont le Docteur L.-O. Beauchemin, de Calgary, est le président, vient de creuser son premier puit d'huile dans la région de Chip Lake; les résultats obtenus promet- tent, semble-t-il, des rendements jusqu'ici inégalés au point de vue ‘qualité. En ef- fet, les premières expériences démontrent que l'huile découverte est de 20 degrés supérieure à celle de Turner Valley, et serait la meilleure de tout le continent américain. On dit même qu’elle aurait à peine besoin d’être raffinée. Les travaux se continuent afin de trouver la profon- deur de ce champ pétrolifère. La réserve de gas est excellente, Select Oïl a des droits sur 58,00 acres.

Outre le Docteur Beauchemin, plu-

: De. - 19 Isieurs autres Canadiens français sont ac-| SAEné 59 courses. :

tionnaires principaux ou secondaires dans cette entreprise. M. Robert Croteau est le représentant de la compagnie à Ed- monton.

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æ % + lieu de l’église à 7h. 80.

Mlle Mercure est de retour au presby- tère après avoir visité ses parents à St- Paul et à Edmonton.

& + + | En présence d’une assistance nombreu-

Un groupe d'artistes de la paroisse, S€, lundi dernier, le Rév. Père P. Pilon,

sous la direction de M. l'abbé René.-M.'o.mi., de Saint-Albert, bénissait le ma-

+ + #% Jacob, notre vicaire, se rendront à La-;riage de son petit neveu, Paul Pilon Aves

M. Fernand .Goudreau vient d'acheter moureux, dimanche soir prochain, le 20 Mlle Juliette Côté. M. et Mme Zoël

la ferme de M. Arthur Morin, voisine de août, pour exécuter un programme récré-|Côté donnèrent la réception à la suite

lsa ferme; nos félicitations. atif des plus variés à la salle paroissiale. 'du marjage. Les jeunes époux partaient

+ + [Ils sont les invités de M. l'abbé Roland le même soir pour un séjour à Banff.

De passage au village M. François Ga-' Bérubé, ancien curé. Participeront au M. et Mme Joseph Pilon ainsi que M. et

gnon, de Falher, un ancien paroissien de programme: M. et Mme Nazaire Lessard, Mme Arthur Pilon et Miles Gabrielle et

30 ans passés; il était accompagné de sa M. et Mme Allbert Giguère, M. ct Mme : Elisabeth Pilon, RE Edmonton, as- mère, Mme Messier, de Maillardville. ‘Marcel Bouchard, M. et Mme Ferdinand sistérent au mariage.

ne | Martineau, M. et Mme Arthur Boisvert,! IM. et Mme Bern. Montpetit, M. et Mme

Ernest Létourneau ainsi que Dan Bois- | la Colombie et la

vert, Laurent Boisvert et Léandre Létour-:

js | = a Gendarmerie royale Le célèbre jockey anglais Gordon Ri- +, % % der

chards a gagné, sa 4,000ème course; il a° Deux jeunes routiers de St-Boniface, | accompli ainsi un exploit qui est unique Manitoba, rendaient visite à M, le vicaire dans l’histoire de l'hippisme. Gordon Ri-. vendredi dernier.

chards détient aussi le record de douze: *% *

victoires consécutives, fait qu'il a accom-,; M. l’abbé P. Maïilloux, nouveau curé pli il y a 17 ans. Gordon Richards a de Vimy, faisait une courte visite au. commencé sa carrière il y a plus de 80 presbytère,. samedi dernier. | ans; il a pris part, au total, à quelques : 18,500 courses. En une seule année, il,

Gagnant de 4,000 courses

bie canadienne est placée sous da juri- diction de la Gendarmerie royale depuis ‘le 15 août.

Une entente entre le gouvernement fé- déral et la législature provinciale sur le transfert d'autorité de la Sûreté provin- lciale à la Gendarmerie royale a été rati- ifiée par le procureur général Gordon | iWismer, de la Colombie canadienne.

: FX La retraite annuelle a apporté quel-| On prévoit que cette nouvelle entente Plus de dégâts que paf :ques changements au couvent. Les Révé- économisera environ $1,500,000 à la pro- les inondations jrendes Soeurs Côté et Bézaire quittent le ‘vince de l’ouest, pour la première année

= [l

Winsipeg, Man. — Les autorités du à St-Albert tandis que Soeur Bézaire ‘Aux termes de l'accord, la Gendarme- service téléphonique du Manitoba ont: : rie s'engage à maintenir une armée de

déclaré que la récente tempête électrique : pus hommes. La plupart des anciens poli- qui s’est abâttue sur la région, avait cau-, - MecLENNAN :

ciers provinciaux de la Colombie seront sé plus de dommages aux lignes télépho- incorporés dans les rangs de da Gendar- niques que les inondations de la rivière

merie. Rouge.

* + + Nos bonnes religieuses étaient en re- traite à St-Albert du 6 au 15 août.

La paroisse de McLennan sous le vo- cable de St-Jean-Baptiste, recevait mer- credi dernier l’incomparable visite de la statue de Notre-Dame du Cap. Escortée des RR. PP. D. Plaisance et H. Charbon- neau, o.mi., et de plusieurs pèlerins de Falher et Donnelly, la magnifique statue |fut pieusement installée dans le sanctuai- re de la cathédrale, où les RR. PP. de

l'évêché, le Père Beaucage, om. curé, les religieuses et les paroissiens récitè- rent sans interruption pendant la nuit et toute la journée, des ‘prières et des Ave, à la Madone, Reine de la Paix, À cette

Avec cet accord, il ne reste que les provinces de l’Ontario et du Québec à posséder leur propre police.

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Vancouver. — Un fonctionnaire des Canadian Pacific Airlines a révélé que des avions, faisant partie de la flotte de cette société, seront confiés aux Na- tions-Unies pour participer au pont aérien

A la jeunesse de Beaumont

Vous savez mieux que moi, qu’il

Victoria. — La province de la Colom-|

couvent de Legal. Soeur Côté s’en va. de l'application de cette nouvelle entente. |

Phon. E. Rinfret

t à 1 +

‘offerte à l’hon. E. Rinfret, ministre des

assistèrent une soixantaine de CORVINES À la table d'honneur, présidée par Me André Déchène, on remarquait, outre M.! {Rinfret: ses deux fils, MM. Claude et: {André Rinfret, M. et Mme Harper; |Prowse, M. et Mme A. de Gaspé Taché, M. et Mme V. de Paul Dansereau. | A Fissu du banquet, Me Déchène pro-| ‘nonça une courte allocution de bienve- ‘nue. M. Rinfret adressa ensuite la parole. | Il rappela le but de sa visite qui était de| se rendre compte de la situation des Pos-| Le tes dans l'Ouest et des conditions al travail des employés. Parlant des ques- tions nationales, il affirma qu’on devait développer un esprit plus canadien, évi- ter de s’appeler Canadiens français, mais plutôt Canadiens de langue française. Comme il J’avait déjà fait déjà à Toronto, il revendiqua une meilleure entente entre les deux grandes races, insistant pour | que les Anglais apprennent notre langue, comme on apprend la leur; ainsi ils ‘pourront savoir ce que nous pensons et nous comprendrons mieux. Il s’attaqua à ceux qu’il nomma les ultra-nationalis- tes de Québec, et souligna qu'il y avait| 1 de porter le nom de Rinfret aujourd’hui un million de Canadiens fran- M. le “président je suis très Hone é çais dans le reste du Canada. Sur ce point vai en Terpauilese d'edie TÉe du français, il a fait une suggestion qui: quelques mots à notre distingué vis a reçue l'appui de quatre ministre pro-l hr. FReso nt vinciaux: les provinces devraient s’en- | tendre pour amender la constitution de; façon à reconnaitre explicitement le] français comme langue officielle dans! tout le Canada. Au sujet de notre radio {française, M. Rinfret rappela le travail laccompli par M. le député Déchène, après que les brefs eussent été rendus à jo Il termina en remerciant l'as: sistance de sa cordiale réception. | Parlant au nom des femmes libérales, | Mme Docteur J. Boulanger prononça lune courte allocution dont voici le texte: i M. le président, hon. M. Rinfret, Mes- dames messieurs.

SWEET.

notre race, souvent nous voyons le nom Rinfret qui brille dans les échos politi. ques, littéraires, judiciaires ét religieux. vous voyez bien mesdames, messieurs que je suis de votre avis— C'est pas ba.

ces

M. Rinfret, nous vous souhaitons bon voyage, et revenez nous voir plus soù- vent. Et en parodiant un vieux refrain de chez-nous, permettez que je vous dise: Il y a longtemps que je vous aime, ja mais nous ne vous oublierons. Merci,

NAN A TANT AN PORTRAITS QUI PLAISENT

L Hier, notre président, Me Déchène a (fait un mauvais coupl 11 m'a demandé, Sur un ton qui commandait de vous dire quelques mots aux noms des Dames li- bérales canadiennes-françaises d’Edmon- ton.

J'ai voulu d’abord m'excuser pour céder lé droit et l'honneur à d’autres plus coinpétentes que moi, mais en glan- añt dans les cases de ma mémoire, le souvenir d'André Déchène, mon brillant petit ‘élève d'autrefois de l’école Gran- din, ce souvenir, dis-je se dressa devant moi et j'ai dû immédiatement accepter l'invitation. ‘

M. Rinfret, nous vous souhaitons la plus cordiale, la plus chaleureuse bienve- nue parmi nous. Nous sommes si heureux de recevoir des visiteurs de notre vieille ÉSioinoe mére, qui viennent nous dire: “Je me souviens.” Si les Canadiens fran- çais s'occupent de nous, et ils l’ont ma- nifesté tout récemment par leur grande générosité pour notre radio française, nous aussi, nous les suivons par la voix des journaux, les quotidiens et les re- vues de VEst et La Survivance d’Ed- monton. Et parmi les noms qui honorent

Vote de 165 contre 27

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a un peu plus d’un an, il a-été créé à Beaumont un groupement de jeunes inti- tulé le “Beau-Club” par l'initiative de

occasion unique dans les annales de la paroisse, une grand’messe fut chantée à 1.30 du matin par Je R.P. Plaisance. Les

Bruxelles. — La Chambre des députés de Belgique à approuvé le transfert des pouvoirs constitutionnels du roi Léopold

allié èn Corée. Ce porte-parole dit que, probablement, -deux où trois quadrimo- teurs faisant. actuellement le service en-

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notre très cher ami Roland Lambert. Ce “Beau-Club” a fait son chemin, toujours sous l'impulsion infatigable de Roland, du comité exécutif et de quelques inté- ressés à l'union des. jeunes. .. Au pre- mier abord, vous vous étiez précipités à grande allure au Beau-Club, puis, pe- tit à petit, vous y avez perdu goût. Pour- quoi se phénomène? Parce que vous

d’extraordinaire, mais vous vous êtes a-

vous attendiez d’abord à quelque chose:

tre Vancouver et l’Extrême-Orient ainsi qu'entre Vancouver et l'Australie partici- peront au pont aérien.

priants se succédèrent jusqu'au départ à 7h. du soir, des pèlerins vers la parois- se de Guy. La grande dévotion à Marie que ce pèlerinage a provoqué dans tous iles endroits où l’on s’est arrêté, sera com- [me tous: l’espèrent, une’ sauvegarde con- tre les cataclysmes et les malheurs qui menacent nos familles et notre pays. M. Gratton de Québec accompagnait les Pères. : - È

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à son fils aîné, le prince Baudoïin. Le vote a été de 165 contre 27, avec sept absten- tions.

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[ralement. Alors, ces choses-là ne vous in- téressent pas. Nôus vous croyons -suffi- samment capables d'affronter la vie telle qu’elle se présente. Je ne doute pas une minute le contraire, mais croyez-vous que si vous étiez mieux préparés, moins entravés, les affaires ne s’arrangeraient pas mieux. NE

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MERCREDI 16 AOÛT 1950:

La vie française à Victoria

Une réunion spéciale du Comité du Cercle Canadien-français de Victoria eut À jeu le vendredi ler août. Mme Georges ! Parent, trésorière, représentera le Cercle

La Survivance

| s la Cloche pour la nouvelle paroisse Cana-

tdiénne-française de “Notre-Dâme des RE .

, Victoires s’allonge sensiblement. On an- inonce Je montant de $498.10. Mme la . # » . . x k * Présidente invite les Amis de la “prière ‘en français” ceux du Québec, de l’On- ‘tario, des Prairies et des Etats-Unis qui ont promis leur collaboration à se rappe- ler leur promesse. Le moment est venu

Maillardville

| | | Notre-Dame de Lourdes

‘paroissiale avait lieu la solennité de

Le 30 juillet dernier en notre église

‘fête de Ste-Anne à la messe, les Dames Îde Ste-Anne chantèrent de jolis canti-i Yques à leur sainte Patronne, sous habile

cimetière St-Pierre de

| minster, | |

fau New-West-

ST-J0ACHIM La défunte, née Dora Charlant, laisse;

ou rer Si $ é X: i û égli De pleu r sa perte, _ A Lundi, 14 août dans l'église de St- ct sa mére, un soeur, Ame VHC Téuchim, avait lieu unc imposante céré-

Crotean, lmonie. La R. Sr Thérèse des Chérubins

u De su cu de SYMPA prononçait des perpétuels voeux. Elle! ee ES a pour entra à l'église précédée de deux char- |tuels furent offerts par les nombreux ES fillettes, habillées de blanc,!

Page

CRITIQUE..

Nous sommes heureux des re- marques qu'on nous fait. Mais

la critique la plus sévère de notre travail, c'est nous-

mêmes qui la faisons. Nous

examinons strictement chaque détail des services que nous rendons, que ce soit un service personnel ou d'affaire, de sorte que sa qualité corresponde au modèle que nous nous sommes fixé. Nous ne voulons pas at- tendre que d’autres nous souii- gnent nos fautes. Votre opi- nion et vos avis seront bien reçus de nous sur n'importe quel point de nos services.

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d'agir et la souscripti k A ; a a ption reste ouverte au Congrès de Langue française de R | jusqu’à la Noël 1950 au “Vieux Québec”,

Fédération, à Notre-Dame de Lourdes in SRE ae | de Maillardvile, les 2, 8 et 4 Se A a PA bre proc ain. > depuis cinq ans se rappellent leur émo- La liste des souscriptions en faveur de {in et leur désir de collaborer, et met- tant d'accord leur sympathie et leur gé- nérosité, non seulement le cher Père Wil- frid, franciscain, curé de la nouvelle pa- roisse de Port-Alberni, trouvera le mon- tant de la Cloche dans l’Arbre de Noël, mais il y en aura assez pour le crucifix du maitre-autel, et peut-être bien aussi pour la statue de Notre-Dame des Vic- EE me toires, dont il rêve.

2 WER’S Tel que promis au dernier rapport, Bons repas de famille. Cordialité et | Voici une première liste des souscripteurs:

LU PELLE Dr Te * 10432, avenue |;{ Charles-Noël Barbès ct Mme; TERRES d'Amos (Québec) : ST, : : Cercle C.-Français de Vict ie Institutrice et instituteur demandés M. et Mme a On demande une institutrice bilingue |“4u Vieux Québec” ?

amis de la défunte. Elle faisait partie Louise Baril et Elaine Letourneau; com- de la congrégation des Dames de Ste-i,, jeux anges, elles portaient chacune | Anne ct en reçut tout les honneurs. Nos ans un plateau en argent, l'anneau et la plus sincères sympathics à la famille: ox, symbole des liens qui uniraïent

éprouvée.

idirection de Mme Adélard Goyette. Mme IE. Bohemier touchait l'orgue. Dans l’a- iprès-midi il y eut réception des nouvelles lcongréganistes;, après la cérémonie un lthé offert par le conseil fut servi à tout 2. iles Dames. Grand merci à celles qui se Activité . Son Excellence Mgr J. H. MacDonald of-! sont dévouées surtout à notre dévouée Le 2, 8 “ 4 septembre, aura lieu dans ! ficiait, assisté du Rév. Père J. Patoine, Iprésidente, Mme Elie Pigeau. tnotré paroisse de grandes manifestations * curé de St-Joachim et du Rév. M. l'abbé: ; 4 l'occasion du congrès de la Fédération R. Ketchen, curé de l’Immaculée Con-! Canadienne Française de la Colombie; | eption. Le Rév. M. l'abbé Paulin, curé en même temps aura lieu la bénédiction: 4} Lac Pelletier, Sask, venu ét de note chère ct belle école Supérieure. | our la cérémonie, fit le sermon de éfr- Quelle joie se quel triomphe pour nous) onstance. C'est dommage qu'il n’y avait: ques bel immeuble; comme nous en pas davantage de jeunes filles présent-' sommes fiers. Prouvons-le en ces grands tes, il les aurait convaincus de la beauté. s Le de _. La de de jde la vocation religieuse. La messe ter-!

__ “berta. ; e 4 septembre et sera suivie d'un gran Lo | a £: ï Photo prise lors du mariage de Mlle M. et Mme Zénon Parent et leurs deux! banquet à 6 hrs. Qu’on se donne tous tion ed AÉMRESURE sie Madeleine Annette Lambert, de Van- fils Réginald et Marc son retournés à rendez-vous, puisque les profits de .ce| Ed | couver, avec M. Edward John Lewis. La San Diego après avoir visité leur nom-| banquet seront versés aux fonds de notre , FF LE cérémonie eut lieu en l'église du T. S.lhbreux parents èét amis, entre autres école; en même temps tous auront l’a- C'est avec grand regret que nous vo-;

Sacrement. Mme Svlvio Chabot, soeur de Mme Pa-|vantage de constater par eux-mêmes le !>°75 partir M. T. Gar sau, directeur du; : {poste CHFA. Nous lui souhaitons bonne

Ia chère religieuse à son Divin Epoux.! |

Va-et-vient Mme Adrien Alain est de retour parmi inous après avoir fait un voyage de deux isemaines à Hollywood, où elle a visité ‘ses parents; elle était accompagné de sa imère Mme Roberge et de ses deux nt ‘Mmes ©. Leroux et H. Berry, de l'Al-

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Station Delorimier, case 152, Montréal. Mme B. Scoupe “plaisir qu’elle va beaucoup micux. Mme KR. C. Bowen … Mile Mathilde Pelletier

Mme Clara Butler

| 25.00 : : : : | ; 5 5.00 guerre mondiale. On dit que le cabinet a Décès E Samedi, le 29 juillet, un grand nombre, "00 décidé de prolonger de six mois la durée, Le 8 août avait lieu en noire église de parents ct amis sc réunissaient chez 95 00 du service militaire et de hausser la Je service de Mme Ls Boileau décédée monsieur Aimé Caowette, ruc Delestré, mnt à LA A a A C9 = 4 ii A Là _ . . solde des combattants. ile 5 août à l’âge de 55 ans. Le Rév.:pour fêter un double 25e anniversaire de

INSTITUTRICE DEMANDEE Joussard demande une institutrice bi-

Jingue pour école du village où il y a Protection contre les

PE M. et Mme O. Beauchesne à à ; Las ! : Rate ER £ .

environ 35 élèves des grades 1 à 6. A- Mille es Cvertin 5.00 iPère Vanier chanta le service assisté des mariage. Les jubilaires étaient monsieur bridge, Medecine Hat. | communistes

dresser toute correspondance à M. Mau-|}j, Doctorée Lam oh Matin 500! La première Carmélite | Pères À. Zcizmond et Leduc comme dia-:et madame Aimé Caouette, ruc Delestré, : PAR

rice Bruneau, commissaire, Joussard, Alta. . S ; cre et sous-diacre. La sépulture eut lieu: Maillardville, et monsieur ct madame. En visite chez M. et Mme Aimé Ber-! Washington. — Le Sénat américain à î

noire

La première Carmélite noire a pro-| noncé récemment ses voeux perpétuels au Carmel de Kabwe. Deux nouvelles | London, Ont. — Un volontaire pour postulantes noires y ont été reçues et ]à brigade spéciale que le Canada dé- toutes deux donnent à espérer beaucoup béchera en Corée à compris que l’armée pour leur vocation définitive. Etant don- | canadienne ne badinait pas dans sa cam- nées certaines difficultés, on étudie ac-|pagne de recrutement. Il se présenta au tuellement quelques modifications en|bureau de fecrutement de London, subit vue de créer un Carmel indigène adapté |son examen médical et entendit un ser- aux possibilités de la femme noire. gent aboyer: “OK.”, vous êtes admis”. Vous partez immédiatement pour le camp

Plus de deux millions et de Petawawa”.

e 112 Lan: —Et ma voiture? demanda la recrue. | demi d age militaire —Ne vous occupez pas de votre auto.

Nous irons la conduire jusqu’à votre ga- Ottawa. — Le Canada a plus de deux rage | HE Ë

millions et demi d'hommes dans les di- sa verses ‘classes d’âge militaire établies pour la force permanente et la brigade spéciale des Nations-Unies.

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M. et Mme Dollard Jacob et leur fils Maurice sont rentrés d’une randonnée en auto dans la province de Québec. M. Ja- cob visitait son père M. William Jacob, de Saint-Prosper; ils ont poursuivi leur - visite du Québec en admirant Sainte-An- ne de Beaupré, Notre-Dame du Cap, et l'Oratoire Saint-Joseph, Mme Muriel Yoeman les accompagnait.

M. rt Mme Philias Fortier, de la rue Fort, passent les mois d'été à La Rivière- la-Paix. :

M. et Mme Albert Nadon, d'Edmon- ton, après un voyage d'un mois sur la côte, sont rentrés dans l'Alberta.

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| Marguerite Gaucher, Fort Kent 74 Lilianne Baril, Bonnyville ‘85

Iberta

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C À T E G O R IE #1 A‘ Arthur Girard, Plamondon 63 Marie-Jeanne Servant, Donnelly …..:… 51 Armand Robert, Thibeault 58

5 Pauline Belland, Pens. A.S.V. … 63 Lucienne Montpetit, Couv. N.-Dame …… 50 Georgette Girard, St-Paul … … B8|Rita Emard, cu À ee its _ e a ii nn à ce 1 Marcel Houle, Couv. N.-Dame 62 Juliette Gauvreau, St-Paul ….…......... 50 Cécile Bussière, Grandin is >: [Lorraine Soetaert, Thibeault a 4 GRADE XII Cécile Gervais, Mallaig 62 Géraldine Maheux, St-Albert 50 Marthe . Dansereau, Beaumont .….:.......…… | es Bruneau, Falher se AE | emmnnns 84 : . Fo | : Eu Fe oder sres 73 Lorctte Tellier, Thibeault … 83 Juliette Richard, Pens. A.S.V. 92! Simonne Cardinal, Pens. A.S.V. 62 Gracia Gravelle, St-Albert … 80 Yvonne Houle, Thibeault .….........î Jeannette Lessard, Lega ; 18 Claire Hébert, St-Vincent Lucille Lirette, Bonnyville = 87 Tucenne Sabourin, Bonnyville ; 61 Imelda Corbière, Mallaig … 50 Thérèse Belhumeur, Pens.\A.S.V. 55 Jesse Chalifoux, Thibeault : nids Fe. Re nue No 83 Marie Jasmin, Falher 8 |Judith Dumont, Bonnyville 61 Dorothy Théberge, Legal 50 Rita Laplande, Vimy 6'Jean-Louis Champagne, Thibeault PER De nl RAI es 83 Thérèse Jasmin, Falher Robert St-Laurent, Couv. N.-Dame. …… 60 Lena Cunningham, Falher 50 Paul Cormier, Sacré-Coeur ie : Elizabeth “Meunier, Thibault Do DOndates Erébert Le ASE Rita Gaucher, Fort Kent Monique Coulombe, St-Albert 60 Laurent Lamoureux, Donnelly 50 Rodolphe Jalbert, Bonnyville … 56 | Maurice Res Tangente ne EL de Roméo Piquette, Plamondon "82 lJeanne Chauvet, Legal 60 Françoise Tercier, Bonnyville 50 Blanche Barrie, Pens. A.S.V. … … 56 Marielle: L'Heureux, Sacré-Coeur . ee us ault Jeannette Cormier, Pens. A.S.V. … Bernard Parenteau, Falher 60 Vivianne Lavigne, Beaumont … 50 Eveline Éseallier, Grandin 55 [Ferdinand Coulombe, Legal 7 Méirel Muller B nyvile VO RE Céline Dargis, Bonnyville st i Vivianne Laporte, Bonnyville 60 Gabrielle Magnan, Beaumont … 50 Henri Hoolahan, La Corey. 55 Maurice Riopel, Thibeault Le one Oucllette Lénb Lucille Aubin, Falher 80 | Yvette Langlois, Pens. AS.V. 60 Rolande Héhert, Pens. AS.V,. ….. 50 Richard Lamoureux, Mallaig … … 55 [Raymond Michaud, SEMREE sefarennes tone Victor Ringuette Bon ve. Claire Brochu, Couvent Notre-Dame 80 | Madeleine Meunier, Couv. N.-Dame 59 [Madeleine Collins, Fort: Kent — 55 |Aline Michaud, F ort Kent Peer eserae sens 72 : HSE ne e Re Ses Denise Godbout, Pens. AS.V. 7 Georgette Gamache, Fort Kent 5S ; % + % ‘Monique Gourdine, Pens. A.S.V. Rae 55|Charles Dargis, St-Vincent ; 72 nus is Te Al Marie Lorette Aline Coutu, St-Paul Lucille Bélanger, Bonnyville 39 GRADE VIII ; Marie-Rose Garneau, Vimy 54|Eïa Collins, Fort Kent ss ù £ ee BARRE : | Ur 7 E | : Fort Kent 71 Rita Comeau, StPaul Me Adèle Mathieu, Pens. A.S.V. DONS T6 | Annctte Charlier, Vimy ste isa 58 Ci IRita Chartrand, Mallaig 54|Denise Gamache, Fo 11 Georgette Gaucher, Bonnyville Yvonne Leduc, Fort Kent 6 Angéline Oucllette, Mallaig 58 Re ; ae ht sesnesrserenses Antoinette Casavant, Vimy … 53 Fleurette Rousseau, Thibeault . de a : . es e Hand 80 Marguerite Hirst, Pens. A.S.V. ….. Müiläred Baril, Bonnyville 58 as po ue A. sirneets 91! Denis Charron, St-Paul 53 |Bernard Hébert, St-Vincent …… 71 Bernard Lavallée Thibeault SE 80 Marguerite Johnson, Donnely 4|Jean Guy Drouin, St-Paul cm . 587 pers Éd e A à nn 89 Lorraine Faucher, St-Paul 53 |Ella Fortin, Beaumont 70 A se Vallée Bonn as 19 Helena Déry, Bonnyville Pauline Séguin, Legal 57 Jeannine Bégin, nr EL Laurent Fersen Fort Kent 58 [Arthur Giroux, McLennan - LV : Fo “rt 79 Eveline Gamache, Fort Kent ….. T2 Yvonne Forber. Vimy ananas 56 Georgette Gamache, Fort Kent .… 53 [Raymond Roy, Girouxville ….…. 70 Thérèse Paquette, Bonnyville éesnrsnnns 19 Henri Robinson, St-Paul 72 | Francis Chevalier, Ci, N_Da er nur 56 Noella Croteau, Fort Kent …. 59 Maurice Lozeau, Ste-Lina En ne on . snieaise 278 Olive Meunier, Couvent .Notre-Dame ….… 71} Gaétane Roux, Fort Kent sn 56 Paul Lavigne, ‘Beaumont 52 Lorraine Fortin, Bonnyville 70 Ec ouard Houle, ibeault 78 Bernadette Ouellet, Couv. N.-Dame T0} Anne-Maric Pelletier, Vimy su 55 Carmelle Latour, Grandin . 52 [Mildred Dragon, Plamondon …... 70 Richard de Champlain, SE es Lena Dubé, Plamondon 70 Marcel Schayes, Couv. N.-Dame 55 Lucienne Lacombe, ee Kent ….. ..…. Alfred Robitaille, St-Vincent … 51|Claire Petersen, Grandin ne Pro le rene Fernande Gagné, St-Paui T0 Yvonne Tremblay, SE-Paul su ee FOR us RE 84 Alice Tardif, Plamondon 51|Rachel Amiot, Plamondon 0! Pont En Ve re ae de Hector Lemire, Falher Shine Denise Demers, Legal su. es sé Re . . ES pe ‘Pierre Turgeon, Sacré-Coeur 51 Vivian Massie, Legal - 6 Does tt Eono ile re Anne-Marie Dargis, Bonnyville O'Pauline Lacombe, Bonnyville ee DE Va DONGNY sets tsutternnss 2 Jeannette Sévigny, St-Albert …. 51|Lorraine Lafortune, St-Paul … à ae _. ne Fe ä, en Marguerite L. Pigeau, St-Paul 69 Jeannette Brassard, Beaumont :….... 54 ee. ji: Re sosesnonennene 81 André Fortidr, Donnelly 51 Germaine Dubrûle, St-Paul 69; Le ricia È . A ee es Gladys Davis, Fort Kent 68 Béatrice Robinson, St-Paul 53 sie Re Ge D ds £ L Hélène Richard, Bonnyville 51 [Raymond Lanctôt, Girouxville 69 L + SE : PI - a u Lucienne Maurier, Legal cm 67 | Loraine Roy, , SÉBSol ex 33 Made eine SUN Donne a sien mien Denise Magnan, Couv. N.-Dame 50 | Patrice Auclair, Sacré-Coeur 69 Je . sie ne _. Lorraine Montpetit, Legal ……… . 67| Marcel Aubin, Falher 53 Marénerite For Bonnyri le … “81 Marie Normandeau, Couv. N.-Dame …… 50 |Marie-Ange Girard, St-Paul 69 E De + “ 1 Lilianne D. Lambert, St-Paul 66 Rita Paquette, Bonnyville … 53 Marie-Louise Hogue, Thibeault ….. Gertrude Frigen, Grandin 50 Lucille Paquette, Grandin 68, Hi 9 A por M sens Roland Charron, St-Paul 63 | Madelcince Duteau, St-Paul … s2 Léon Hébert, Falher Re Yolande Garneau, Grandin 50 Marcel Michaud, St-Vincent. ….. …… .68 Gisèle . oin, à her S RE Lucille Boufford, Pens. A.S.V. 61| Armande Martineau, Legal … Rita Chamberland, Pens. A-S.V. Gemma Girard, Grandin 50 Marie-Rose Leduc, Forû Kent ss 68 Jacques ee A se Marcel Ducharme, Fort Kent su 60 | Michel Beauregard, SEPAUL cm 50 Clarisse Lamoureux, Pens. 80 Maurice Dumaine, La Corey 50 [Pierre Roberge, Sacré-Coeur 68 Simonne Lavallée, Pens. A.S.V. 176 ; Cyprienne Joly, Bonnyville Louis Dumaine, Legal 68 Yolande Leroux, St-Paul æ % Jules Gauvreau, St-Paul 50 G Û : Anita Montpetit, Legal 50 |1-ouis 08 Ù dière, Falh Clare Lois SLPail 2e 7 so Georges Sabourin, Thibeault TT Ernest Chartrand, Mallaig 50 [Jeannette Caouette, Legal 68 Annette Laverdière, Falher … GRADE XI ; Edna GCorbière Mallaig ‘ [50 Yvette Chalut, Fort Kent diese 77: Yvonne Chalut, Fort Kent 86 |[Gétard Bonnamour, Girouxville sm... 68 Marie R. Lamarche, Legal Evangéline Forcier, Donnelly 87 paul-Emile Regimbal d Légal He * 7" g Gilbert Turcotte, Falher .…… Me (Philippe Lemire, Falher mme 50 Noëlla Bruneau, Falher … 68 Monique Roy, Donnelly … Renée Piché, Pens. A.S.V. 85 Réal Croteau, Fort Kent ess ” Gilberte Hogue, Thibeault + 75 Rofer Désfossés ‘Falher ie nn 50 [Laurier Maheu, Sacré-Coeur is 67 |Pierre Lacroix, Donnelly Estelle Benoit, Fort Kent 84 AiBère Démiont Falher .. D Irène Beaudoin, Tangente 75 paul-Emile En 50 [Denise Plaquin, Thérien … 67: :Cécile Lacombe, Bonnyville … Jeannette Tremblay, Pens. A.S.V. 84 Gary rar McMahon Pens. A SV. DR Laurette Jodoin, Ste-Lina 5 Cetrudé Carant- Do Amel 0 [Noël Martel, La Corey …. … 67 Irène Parenteau, Falher Colette Chamberland, Legal 82 Jexnétie Normun eue Pens A SV Simonne Perreault, Sacré-Coeur 75 : 6 Billy Dubois, Vimy … 66 Maurice Despins, Vimy Pauline Tailleur, Couv. N.-Dame +... 81} 3 RTE Marcel Rochon, Girouxville ci + # # Evangéline Gillon, Tangénte 66 Marie St-Arnaud, Vimy Marie Chiasson, Mallaig 81 | _& + % jAgathe Gour, Bonnyville T5 GRADE vu Adélard Séguin, Bonnyville 66 Joanne, Croteau, Bonnyville Bibianne Godbout, Pens. A.S.V. 81 ‘Aline Désaulniers, St-Paul T4: . : Claude Proulx, Falher …… 66 Aurore Déchaîne, Mallaig : Yvette Villeneuve, Pens. A.S.V. 80 GRADE IX n Lapierre, SEPaul 7a Doris Aubin, Falher OR EE 26 Raymond Benoit, Girouxville …. … 66 Claude Ouimet, Bonnyville 2 Anny Séguin, Bonnyville 80 |Liliadac Paul, Falher rm 6 Doret Landry, Fort Kent 74' Huguette Hétu, Bonnyville … + 92 Cécile Vallée, Beaumont is 66 Louise Michaud, St-Vincent Marie-Claire Hurtubise, Legal … 78!Rita Lambert, St-Paul …. Ne . Léo Garand, Falher : 74 Jacques Johnson, Donnelly ……… … # {Gaston Gamache, Fort Kent …. … 66 Angèle Benoit, Girouxville Marie-Rose Hurtubise,' Legal 75} Carmen Servant, Falher … 85 Jeannine Côté, Donnelly T Louise Lambert, St-Paul 2 AT ucien Magnan, Beaumont … … 65 Irène Bruneau, Falher Lucia Gaumont, Pens. A.S.V. 75 Pauline Granger, Tangente …. g4 Lorette Meunier, Thibeault # 18e Boutin, St-Paul NN ANR enr pe sense 92 | Daniel Chalifoux, Beaumont …. 65 Laurette Champagne, Legal … Antoinette ‘Potvin, Pens. A.S.V. …. 75|Lorraine Dusseault, Falher … 84 Leda Bonin, La Corey 73 Claude Beaudoin, Falher Raymond Brosseau, St-Paul . 65 Hélène L'Héureux, Legal …… Dolores Hétu, Pens. A.S.V. … 78|Paulette Sicotte, Falher … 83 Denis Villecourt, La Corey … EE Comeau, Falher 90 |rène Lussier, Tangente …… G64'Roland Carrière, Vimy . Marguerite Gill, Pens. A.S.V. ……… 78 |Rachel Brochu, Couv. N.-Dame 81 Roger Loiseau, Falher 73 Estelle Sliger, Couv. N:-Dame ……. “90 [Richard Denault, Mallig 64Lise Vaugeois, Legal : Olive Gobeil, Beaumont eee …. 78|Jacqueline Bisson, Couv. N.-Dame 80 Denis Hinse, Beaumont 73 Le Hogue, Thibeault 4. Annette Verrier, La Corey G4'Léona St-Jean, Legal Lorraine Ouimet, Bonnyville . … 7 72|Julictte Côté, Pens. ASV, rss 78 Margaret Cochlin, Pens. AS.V. 73 es Baron, Donnelly SR EEE Jeannette Landry, Thibeault … 64 Gérard St-Jacques, Beaumont Rolande Ouimet, Bonnyville ……. 72 Hélène Frey, MCLennan sense 77 Bernard Ouellette, Ste-Lina 72 yne Charest, Girouxville ze 89 Léon Schayes, Thibeault … 63 Yolande Granger, Tangente ……. Vivianne Beheil, Pens. A.S.V. 2 | Doris Giroux, Girouxville 75 Annette Remillard, Girouxville 72 ee . Préfontaine, Legal …. Aurore Létourneau, St-Paul 62 Renée Meunier, Thibeault Fernande Bérubé, Beaumont 71|Priscille Gibeau, Couv. N.-Dame 75 Roger Dusseault, Falher 72 aul, Falher 8 Jeannette Broadhead, Sacré-Coeur ……… 62 Rita Guilbault, Thérien Constance Meunier, Couv. N.-Dame …… TL! Marie Pacpe, Couv. N.-Dame cm 4 René Roy, Falher 72 La di Pombert, Sacré-Coeur 87 Gérard Lanctôt, Girouxville … 62 Elaine Bouthillier, St-Paul Lilianne Laverdière, Falher 71! Hélène Dansereau, Pens. ASV. 74 Aline Baril, Bonnyville 72 nn, É Legal : 7 | Laurent Cyr, Legal ….. re rt r es 62 Olive Pelletier, Legal Angelle Hinse, Beaumont 71 | Viviane Desmarais, Pens. AS.V. mu. 7a Thérèse Lapointe, Bonnyville 72 e Isabel, Falher Georges Fortin, Bonnyville . 62 Gérald-Dusseault, Falher Gcorgina Tellier, Couv. N.-Dame Dora. Reraud Bédiunt nee re ee Germaine Courchesne, Pens. A.S.V. 72 ne Bérubé, Couv. N.-Dame-::.….... 87 (Roger Béland, Donnelly …... .” 62 Violet Ouellette, Fort Kent … Adeline Durocher, Mallaig .…...… 70 |Thérèse Roy. SEPAul crus 3 Adèle Breault, Grandin 71 ns de Falher”…… niaperrennets 87 IMarcel Labonté, Thibeault Re 62 Claire Baril, Pens. A.S.V. 7 Marcel Déry, Fort Kent 70 | Léon: à Ouellette, Ste-Lina mmmrnnnnnrs #2 Claire Rondeau, Fort Kent redire 7 ne Grandin Hélène Poitras, St-Paul 62 Jeannette Lafrenière, Pens. "AS. se T0 Yvonne Sabourin, Bonnyville ………..… 70|Marthe Lefebvre, Pens, AS.V. cu 72 Eïsie Necula, Fort Kent 71 A Re Couv. N.-Dame ….…… Robert Despins, Vimy 62 Germaine Ouellette, Girouxville 70 Georgette Maisonneuve, Pens. A.S.V. 70 (Rita Leduc, Fort Kent LAN R “7e Cécile Mercier, Fort Kent L ee : ontaine, Girouxville Denise Tellier, Thibeault :. 61/Vivianne Aubin, Girouxville Josette Hétu, Bonnyville 69 |René Anctil, Girouxville 2-André Martineau, Falher. us CT ie rs Sci DS Simone Ménard, Plamondon ms. 60 Noël Duteau, St-Paul Irène Magnan, Beaumont. .…. 69 Lorraine Landry, Pens. A.SV. mu 71 Normand Courchesne, Falher TA de I ne ne RE RE 6 |Elianne Sabourin, Vimy 60 Emile Amyotte, Mallaig . Marie Dumaine, Legal 68 |Bibiane Goueffic, Pens. A.SV. cu 70 Annette Tailleur, Couv. N.-Dame 70 ie … ENS a 6 |Pauline Plante, St-Paul 60; ‘Marthe Levasseur, Fort Kent 70 | Déreen Choquette, Falher 68 Hélène Sabourin, Bonnyville 70 Vianney Dubrûle, St-Paul enr Fe aie ne j se sFetessests 6 | Thérèse Proulx, St-Albert 60 ‘Julia Lavigne, Beaumont T0 Antonio Fagnan, Vimy. ; 8! Annette Martineau, Bonnyville … o Lucienne Chalifoux, McLennan … A . ne RSS nr Gérald Royer, Beaumont 60 Roger Huot, Couv. N.-Dame 70 Gilles Voyér, Couv. N.-Dame 68 | {Arthur Dalton, Sacré-Coeur . 70 Gordon Kelly, McLennan i70 e , Ë Fe se Sa Sacré-Coeur ….…….. Maurice MeNamara, Grandin … 59 Laurette Lafond, Thibeault T0 Bruno Préfontaine, Legal 67 Jeanne d’Arc Granger, Tangente … 70 Elianne Raby, Girouxville 70 Bi Sn Se Far René Maurier, Legal 59 Pauline Sabourin, Vimy 69 Paul Piquette, Plamondon …….. 67 Lorraine GI, SE-VINCENt cree 70 Renée-Jeanne Savard, Girouxville i70 Le re Thibeault 84 Rosaire Charrois, Legal 59 Edna Julien, St-Paul 69 Roxanne Maltais, Beaumont …. 67 Estelle Blanchette, SEPaul sn 70 Jeannine Gamache, Fort Kent 70 ne ne Legal 84 Lorraine Ouellette, Ste-Lina … 59 Alice Hébert, Fort Kent 65 Cyrillé Lavigne, Beaumont … 67 Noclla Boutin, SHPaul cms g Léo Parenteau, Falher . M Le ert, Beaumont …… 3 Guy Bachand, Thibeault 59 Lucy Deblois, Bonnyville … . 68 Cécile Cliche, Falher 67 Violette Belland, Sacré-Coeur … 67 Gisèle Aubin, Falher Fe … rte Bonnyville … Annette Comeau, Thibeault lAlbert Laplante, Vimy …. se ea 68 Vivianne Rhéaume, Falher 67 Noël Maure, FAÏRer mme 67 Denise Johnson, Donnelly 70 ie enest, Sacré-Coeur … 3 Guy Gamache, St-Paul 2 Lucille Doucet, St-Paul nn 68 Florence Gamache, Couv. N.-Dame .…… 67 Fernande Genest, Pens."A.S.V. 7 Thérèse Tanguay, Donnelly … 70 es | Mousseau, Pens. A.S.V. . 82 Michel Trudeat, Fort Kent … 59 (Philippe Aubin, Girouxville . … & Rhéa Levasseur, Fort Kent se 66 Rita Constantin, Pens. AS.V. Cécile Bordeleau, Bonnyville . Nr trinrannietre “82 Valentine Houle, McLennan … 59 {Yvette Roy, St-Paul … 68 Rita Déry, Bonnyville … 66 Janine Mousseau, ‘Pens. A.S.V. 67 Annette Préfontaine,. 0 ASS rise 69 Reel “ ue spa sine is 2 Cérard Casavant, Vimy mu. 58 Yvette Jodoin, Ste-Lina … 68 Rita Gobeil, Beaumont 65 Françoise Bérubé, Couv. N.-Dame 65 Luciènne Ouellette, Legal .: 69 a es € G hamplain, Legal -82 Lionel Joly, St-Paul 87 |Céline Coulombe, Legal 68 Thérèse Trottier, Pens.. A.S.V. 65 Aline Doucet, SEPaul mms 65 Françoise Ouellette, Legal peu +. Tanger, TFangente. re Paul Landry, Thibeault se Thérèse St-Laurent, Girouxville 68 Bella Baril, Pens. A.S.V. 65 Monique Verret, McLennan 65 Raymond Sauvageau, Falher . re es mie e co Bonnyville …. Pauline Vaugeois, Legal 57 :Marie-Jeanne Renaud, Beaumont 68 Bernadette Cimon, Donnelly 65 Rachel Puech, Pens. ASV. mn . g5 Paul Rhéaume, Falher … 69 G che bal, ! Bonnyville . X 1 René Parenteau, Thérien 57 [Liliane Houle, Thibeault 67 Adrienne Voyer, Couv. N.-Dame 65 Doris Turcotte, Falher es "gs Jean Kaiser; Pens. A.S.V. 68 or se Bonnyville ……. 81 Ruth Casault, McLennan 57 [Florence St-Pierre, Grandin 67 Raymond Tailleur, Couv. N.-Dame .…. 64 Rollande Gagnon, Falher gs Adolphe Boissonnault, Thibeault …….. … 687 se ve e Donnelly . ... Emile Coulombe, Falher sms 56 Jeannnine Chenier, Grandin 67 Jeannine Morin, McLennan 63 Lilliane Vallée, Pens. A.SV. sm g4 Sylvia Hamilton, Sacré-Coeur ss 67 . ee. TANAIR snrssmrnsrsrsee Alice Théroux, Legal 56 André Casavant, Legal 67 Gabrielle Gascon, Mallaig Léona Foisy, Falher mn. 64 Alice Limoges, Sacré-Coeur _ on ER _… St-P srneennenensse 80 Yolande Robert, Thibeault … 56/René Despins, Falher 67 Jana Poirier, Falher Alice Beaudoin, Fort Kent 64 Cécile Roy, Fort Kent 67 des a Brice, ie Ce 80 Albert Lafrance, St-Paul: 56 !André Beaupré, Bonnyville se A ‘ Yolande Bérubé, Beaumont …. Claire Lamothe, St-Paul 63- Lorraine Richard, Bonnyville Ge one in di Le Lpatsees 80 Julie Boisvert, Pens. A.S.V. … 56 [Eva Lapointe, Bonnyville 66 Marie Cimon, Donnelly: ….. Bernard Lamoureux, Girouxville 62 Jeannette Bougie, Bonnyville . .…… a L - Se =. Ft Ppn qe nee 80 Gérard Magnan, Beaumont … . ÿ8 Fernande Tieulé, Legal 66 Evelina Cyr, Plamondon s Rhita Meunier, Couv. N.-Dame 60 Henri Belland, St-Paul .…… 66 Rio s Di Le ri ESS 80 Lucien Brodeur, St-Albert 55|Thérèse Villeneuve, Sacré-Coeur .… 66 Héléna Michaud, Fort Kent Angeline Houle, Couv. N.-Dame …. go Germain Joly, St-Paul 66 . à cu FFaul nn 80 Raymond Couture, BOnnyville nn “55 |Réjeanne Rochette, Tangente … André Croteau, Bonnyville œ Jacques Loiselle, Couv. N.-Dame go Rose-Marie Verrier, Bonnyville … 66 DV 2 ue ee 80 Maurice Chevalier, Thibeault 55 jAntoinette Bédard, Tangente Lorette Potvin, Pens. A.S.V,. 80 Aurella: Meunier, Thérien … : … 60 Pierrette Ouimet, Bonnyville ……. 66 es pe a AE SES 80 Louise Préfontaine, Pens. A.S.V. 55|Alvine Schaüb, Plamondon Jacqueline Ouellette, Mallaig 58 Lorraine Plante, St-Paul … 60 Cécile Houle, Thibeault … 65 re “e es 4 Bonnyville 79 Hector Amyotte, Mallaig 2 Lorraine Tellier, Thibeault Eveline Ethier, Falher 58 Lorette Gibbon, Sacré-Coeur … … 60 Victor. Ouimet, Sacré-CoEUr 65 Aie ee onnyville sorrereneenenesneenenne 79 Lionel Dupuis, St-Paul … 55)Dénise Sylvestre, Legal Denise Desmarais, Pens. A.S.V. … 57 Agnès Breault, Grandin sms 60 Gilberte Vallée, Mallaig … 65, PRÈS de ee alher srrennneeneennses 79 Laurent Ducharme, Fort Kent PS lEdue Rivard, Fort Kent . Pauline Dumas, Falher 57 Donald Morin, Falher Le 60 Rogelle Cyr, Legal M rss dte ane dés 65 re . bé irouxville ….. Lorraine Bachoffeur, Thérien ….. SE Sa (Cécile Collins, Fort Kent eesennnes Eugène Plamondon, Plamondon … 57.Yolande Proulx, Falher mu go Jeannette Couillard, Girouxville 65 “"" + Us é, Beaumont … Tarcienne Meunier, Thibeault … … 54 Rollande Boulet, Donnelly Roger- Laplante, Vimy ……. 56 Rosalie Labrie, Pens. A.S.V. 6o Cécile Garneau, Vimy 84 a és sen OR SR Robert Côté, Sacré-Coeur … 54 Marguerite Marceau, Girouxville . Marie Longchamp, St-Paul s….…. Sante 56 Jacques Lebeuf, Plamondon … © 5g Simone Doucet, St-Paul 64 ne 1. Grandin Origène Caouette, Legal Deseists 54 Claude Poitras, St-Paul css Edouard Ouimet, Bonnyville 58 Dorothéa Moreau, Bonnyville . 59 Raymond Ouellette, Ste-Lina … Es Joce he nee irouxville …. Ronald Houle, McLennan .…… Hs 54 Louise Lafrance, St-Paul Rémi Carière, ViMY ses … BE Yvette, Girard, Falhér rende 58 Elizabeth Nadon, La Corey ….. ne 64 Jeep ue Hepal sde Fernand Bilodeau, Vimy … 583 Andréa Truüdel, St-Paul . Bertha Frigon, St-Paul … 50 Laurette Maisonneuve, Pens. 58 Denis Caouette, Bonnyyille . re St-Martin, Legal Raymond Lacombe, Bonnyville … … 53 Claudette Turcotte, Grandin … Vincent. Amiot, Plamondon 50 Rita Broadhead, Sacré-Coeur sense 58 Laurent Magnan, Beaumont … 64 F ne Bonnyville …… Giülberte Rivet, ThibeaulE … Ba Jules Bessette, Girouxville Marcel Royer, : Beaumont 50 Francis McMahon, St-Paul 58 Juliette Houle, Thibeault 63 ou é es ette, Ste-Lina Henri Groleau, Grandin .:..… … 58 Yvonne Dansereau, Beaumont se , lAline Girard, SHPaul ms 87 Hermas Martin, Thérien ne 60 à re Plamondon George Duchesne, Tangente … 53 Gérald : Martin, Thérien e Æ OX à iDenis Lemire, Falher 87 Fernande Bélanger, Plamondon Le . sruue; a vers 8 Raymond Ouellette, Thérien … 52 ‘Hectorine ‘Houle, Thibeault ….….… GRADE X Lucien Houle, Couv. N.-Dame … 56 ‘Irène Lussier, McLennan: retee 4 cs Falher T Denis Thibeault; Tangente 7 52 Aurore Rivet, Thibeault Anne-Marie Anctil, Falher 82 Cécile Langlois, St-Paul 56, Doris Pomerleau, Pens. A.S.V. Te es Girouxville … Robeït Sabourin, Vimy … B2 Joseph Corbière, Mallaig Mariette Trottier, Couv. N.-Dame 71 Claudette Lamarre, McLennan … 56, lAline Roberge, - Bonnyville . . 62 Léontine Aubin, Falher ee jândré LaBrie, Sacré-Coeur .82 Roger Là Brie, Sacré-Coeur … Pre Jeanne Champagne, Couv. N.-Dame 76 Claude Préfontaine, Legal …… 56: ‘Georges Lajoie, Thérien … … 6 de Oueliette, Tangente . 6 | David. Dragon, Plamondon ue 51 Germaine “Poitras,_ St-Paul Norman Chalifoux, Couv. N.-Dame 78 Gennie Domerecki, La Corey …….… 56. Georges Douchet, St-Paul “s 0) Ni. Doro Por Rent meme 76 | Alexandre Goudreau, Beaumont ….. 81, (Gérard L'ADDé, Falher mm Carmel Despins, Pens, A.S.V, 75 Loraine Lozeau, Pens. A.S.V. 56 Madeleine Lardreville, St-Paul . sn. 60 or . efret, MoLennan ARCHOS ES [Marguerite Sabourin, Grandin :...… … 51; ‘Réginald Lussier, Donnelly ve Thérèse Dubrûle, St-Paul 75;Loraine Roberge, Sacré-Coeur 55 Robert Ouellét, St-Paul se . 60. enry Roy, Falher Deseeernnenenenenseeeeenersneetense G| Annette Normand, Thérien cn 50, “Thérèse - Gauthier, Plamondon ÿre Marguerite Piché, Pens. A.S.V. . … ‘T4 Helen Sullivan; Plamondon 85, Yolande Théroux, BEPaUl ee ho Gosselin, Couv. N.-Dame 76| a st à Roger de Champlain, Legal Jeannette Raby, Girouxville 74 Jeannine Emard, Falher mere 55, ‘Jeanne Carmichael, Sacré-Coeur Fsestenne 60 Alberta. Läbonté, Thibeault … ps 182 cuir CNE Re Labrie, :Sacré-Coeur … se Lorraine Levasseur, Fort Kent 68 Jeanne Rougeau, Thérien re 54, Cécile Ménard, Plamoñdon Laurette. Ouelletté, Sté-Lina … " 0 GRADE VI: HR à : [Noël -Chénard, Tangente erenennes ‘ Anne-Marie Maynard, Pens. AS. 68 ,Lorette Belland, St-Paul 54 ‘Sheila Hagän, “cLéiman - ee . 60; jAndré Doucet, St-Paul …… 76 1 RE Réjean “Früdéau, -Giroitille Lucienne Perrault, Girouxville | 67 Noéline Séguin, Bonnyville . 54 René Matkiéu, Mällaig . :80 Rita Gauthier, Plamondoi srditteere . 78 |Syivia Lib St-Paul suréotiies Sstrsasà 28 Thérèse Portelance, Tangente «mm Victor Garand, Falher 67 Madeleine Huot, Vimy ….… 531 Yvette Ouellètte,. Legal . 60 Lorraine Prénévost, StPaul 76 |Paul Poirier, Couv. N:-Dame … 88 Gilheit Sylvèstré,.Tangènte … F Evelyn Bisson, Couv. N.-Dame : nr Morin, St-Albert 83 Rachel Dechamplain, Légal . 60° Eveline Lavigne, Beaumont 76 |Rose-Marie Sliger, Couv. N.-Dame “È FE “Martin, :St-Paul semnnernerennee Jeannine Séguin, Legal sis Hélène Lussier, MëLennan 88 Jeannette Morin, Grandin …. ‘60 | Jean-Paul Langlois, St-Paul …. US «..16 Denise Casavant, Pens. AV. se : 2 Bernice de.Champlain, Legal : AE ; il ‘Oliva Aubin, Falher eo Henri Chalifouüx, Couv. N.-Dame 75 |Evelyn Piché, Pens. AS.V. “ | ef EME Jeannine Montpetit, Legal 6! Jeanne Gervais, Mallaig NES 53, 3 AAUMET : sersnerrerss “. 60 éline-G pa Agnès ni. Fort Kent . D AE AA Tome due ui : À nd éd oitpville ee ee 58 Marguerite Albinati, Falhier ae 60 Paul ‘Morin, Couv. .N.-Dame " 75 |Evéline” oudreau, Pens. AS.V. ‘O0 René Hélène Cliche, Falher ss … 66. ones Pelletier, Vimy a . 82. ‘Guy Gauchér, Bonnyville AE 80, Doreen St-Martin, : Legal. esse A : 75 Monique re Legal See Rose-Marie Lirette, Bonnyville ee 66 |Gaston Fagnan, Vimy … 82. ‘Clément Bérubé, Beaumont …. 60, ‘Albert. Auctil, Thibeault …. éme 75 na re os Tes ae Dame tas Guénette, Girouxville ses . Marie-Claire Brassard, Beaumont 66 |Maurice Verrier, La Corey … 82. Joséphine L'Heureux, Pens.'A.S.V. :60; Cécile Pariseau, Donnelly ……… 75 “ FR mers, ce ludete Boisvert, Legal Lauraine Lambert, Beaumont - 65 ;Simonne Villecourt, La Coréy 82 Arine-Marie. Randon, Pens. A.S.V. .60, Marie-Ange. Bélanger, Bonnyville ….…. 75 ces ette_: Dé La RE Legal : Thérèse Mercier, Fort Kent …. … 64 |Ovila Joseph Roux, Fort Kent .: 82 |Paul Labonté, Thibeault 2... 89 Gérard . Meunier, Thibeault 75 $ L ë re ci on, D André amothe; ‘Grandin . ee Lily Collins, Fort Kent ……. … 64jYolande Beaupré, Bonnyville . 5 52! Annette ‘St-Pierre, Grandin ne … 59° Paul Lemire, ‘Falher pates 75 \Rolan es egal .… - : .: Bernadette Brodeur, Falher . 64 Aline Basterash,. S#Paul …. PRES 51, ‘Adrienne Thivierge, Grandin .. . 89 Lucien Villeneuve,’ Sacré-Coeur son 75 |Simonne Ge e,. Girouxvill /: Lucie Baril, Bonnyville ….. | :: 64 Poncella Beauchamp, Sacré-Coeur … 51, IGaétane Gyr, Legal 59, ‘Éméricienne Dubrûle, MéLennan (T4 Emma Rondeau, Bünnyville ss 'ovila Gobeil, Beaumont : rte 14 1Joffre ue ape

: Annette Laplante,' Vimy si. , 63 Ludger Lacombe, Fort Kent . HR 51 Lucille CIRE Mallig smneserriesserseseese

MERCREDI 16 AOÛT 1950

Los Angeles

Encore un tremblement de terre! Cette fois dans notre vallée Impériale au bout sud de notre Etat.

RO K %#

La Californie devint Etat des Etats. Unis le 9 septembre 1850. Donc elle à 100 ans américains.

TX * +

Cette année 1950 verra 168 conven- tions, petites et grandes, à Los Angeles. Ce qui lui apportera pour à peu près $35 millions d’affaires au détail. Ceci n'est qu’une partie de notre tourisme général. Notre tourisme en entier au mois de mai laissa à Los Angeles la jolie pétite somme de $24 millions. Vous aimeriez avoir une idée comment cet argent est dépensé? Voici: 23% en nourriture, 19% en accommodations, 12% en gasoline et réparage d'autos, 18% en

linge, 28%. en amusements, nettoyages, “bebelles” etc.

E + + Notre Hollywood Park est rebâti et ouvert, ayant brûlé subitement il y a quelque temps. Cet établissement pour

course de chevaux couvre 435 acres, pos-'

sède 23,474 sièges. Les courses se dé- roulent autour de lacs remplis de fleurs d’eau et de canards de toutes espèces. Les parterres et les fleurs ne s’y comptent plus. On vient d’y planter 28,000 “petu- nias”, 2900 “delphinium”, 2500 “asters” 1800 “marigolds” ‘etc. Connaissez-vous ces noms de fleurs? Pas moi. Les 90 cy- gnes blancs, les 40 cygnes noirs, les 480 oies, sont sous l'oeil d’une “goose-girl.” qui voit à ce qu'ils restent dans les lacs au temps des courses pour le coup d'oeil. En ces derniers six ans, ce ter- rain de courses donna pour plus de 44 millions aux institutions de charité et bonnes causes de nos alentours. E + *%

Enfin Mme Olive Megowan a pris l'avion ce lundi soir, 81 juillet, pour New-York. De Là, ce sera Lourdes, Pa- ris, l'Europe. Une promenade de six mois. Nous étions un petit groupe ds parents chez elle le dimanche précé- dent. Nous manquerons Olive, née Sar- rasin, qui est une des nôtres les plus ac- tives, au cercle familial,

Æ * =

Nos visiteurs du Canada sont partis. M. et Mme Armand Landry, de Bonny- ville, Alta. Ils se retirèrent en leur se-

maine ici chez M. et Mme J.-B. God- bout, tante de Mme Landry. Nous con- naissions Rose, Nous avons trouvez Ar-

mand très réveillé, C'est notre désir’

qu'ils nous reviennent bientôt. Ils eurent avec enx, Miles Annette ct Adrienne Ga- mache, institdtrices à Bonnyville, et Mlle Thérèse Bouchard, institutrice à Fort Kent. Et Rose, aussi ex-institutrice; c'est donc dire qu'il fallut que notre Armand soit sur son P, Q. Ayant laissé Edmonton le 4 juillet, ils arrivèrent ici le 20. Leur première visite, ce même soir, fut à ma.place d'emploi, au popu- laire “Bar of Music”. Je pus me rendre les voir encore une fois chez M. et Mme Godbout. Ils arrivaient d’un trois jours à San Diego, Tia Juana et Ensenada, au Mexique. Rarement a-t-on visiteurs qui remuèrent tellement. Ils allèrent partout. Nous quittèrent dimanche, le 30. Met-

tront 15 jour à s’en retourner.

Samedi soir, juillet le 29, la famille Maurice Labonté réunissait un fort grou- pe pour un pique-nique à Huntington Beach.

M. Alex Lavigne est revenu de la Palestine, où il fut employé pendant 18 mois en quelque capacité d'ingénieur. Une soeur de sa dame, Mme L. Néron, rassemble en un pique-nique une cen- taine de parents et d'amis au Pare Cen- tinella dimanche le 23, pour le recevoir.

J-R. Thibaudeau

te em ee

Beau Club

Lundi, 3 août eut les la réunion men- suelle du “Beau Club” de Beaumont au sous-sol de l'église. Au cours de cette assemblée, on procèda à l'élection d’un nouveau comité cxécutif, par vote à bulletin secret, sous la présidence’ de M. Julien Bérubé, assisté de Mlle Rita Co- beil ct de Mlle Suzanne Lambert. L’é- lection a donné les résultats suivants: président, Roger Gobeil; vice-président, André Hinse; secrétaire, Yolande Bérubé, trésorier, Léo L'Heureux.

À la demande de Julien Bérubé, le nouveau président occupe sa place et prononce en termes fermes et propres quelques paroles pleines d'actualité en remerciant ceux qui l'ont secondé et fé- licite vivement le comité sortant de l’im- mense têche qu’il a accomplie. Nous fé- licitons vivement les élus et les assurons que nous serons avec vous de coeur et

’âme pour les épauler en toute acca-

Parlez-nous français dit un Anglais

Montréal. — Si vous voulez que les Canadiens anglais apprennent votre lan- gue, parlez done français quand vous vous adressez à eux, a déclaré M. P.-S. Gregory, vice-président de la Shawinigan Water and Power, au congrès provincial des club 4H à Montréal.

“Vous êtes si gentils, a-t-il déclaré à l'adresse des Canadiens-français, que vous répondez souvent en anglais aux paroles qui vous sont adressés en fran- çais par un Anglo-Saxon.”

M. Gregory, évidemment, a parlé dans la langue française, qu'il maitrise avec beaucoup d'élégance. “Pour apprendre une langue, a remarqué justement M. Gregory, il faut la pratiquer. Il faut avoir l’occasion de la parler.

sion. Sur la proposition de Roger Go- beil, Roland Lambert a été élu prési- dent d'honneur à l'unanimité.

Aux élus!

Mes chers Amis!-

Vous venez d'accepter une tâche im- portante en prenant les rênes du “Beau Club”, tâche importante, parce qu’il s’a- git d’un groupement publie où les cho- ses ne s’arrangent pas toujours comme on le désire.

Vous savez fort bien que dès lors, tous les yeux des jeunes de Beaumont vont se tourner vers vous, soucieux, dans l’at- tente de voir vos oeuvres se réaliser; on s'interroge si réellement vous avez cons- cience du poste que vous occupez, si vous êtes prêts à donner l'exemple in- dispensable à la mise en route et de prendre tous sur vous-mêmes, afin d’at- tirer l’atention, de faire prendre à coeur la marche du club, ou attentif ou laïsser- faire!” F

Dites-vous bien ceci: plus nous en don- nons, plus on nous en donnera! Donc, donnez l'élan, les autres vous suivront, et si, par hasard, il y a des brebis galeuses, qu’elles passent leur chemin! Travaillez pour le bien de tous, afin que des résul- tats concrets se réalisent avec un petit nombre d'intéressés, et vous verrez les autres suivre ensuite avec enthousiasme. À toi, Roger, qui es le cheval de devant, arrange-toi pour que les chaines soient toujours tendues et tu verras des résul- tats favorables bien vite.

( Communiqué)

Survivance

Page 7 = André Bouchard, Donnelly 55 Feu Mme L. Seale Résultats du Concours | Maurice Dubeau, Ste-Lina 55 Marie-Claire Fortin, Tangente 55 suite de la 6 ! Philomène Frigon, St-Vincent 55 (Née Anne Marie Bougie) | Emile re Legal Li n i re 61 | Gabriclle Tellier, Sacré-Coeur 55 Anita Biron, MCLGNNAR nrennrnrse 61 Philip Richard, Plamondon 55 . Jeudi, le 2 courant , à Vancouver, dé- Laurier Coulombe, Legal … 6L | Irène Ouellette, MeLennan … 55 cédait Anne Marie Bougie, épouse de Martine Girouard, Girouxville 6 | Laurette Lavoie, McLennan … 55 Leslie. Scale ct fille de M. et Mme Do- Î Evelyne Giroux, Girouxville …. 61 André LaMarre, McLennan so 55 nat Bougie de 2814 W, 8e Ave., à l’âge | Euclide Bérubé, Beaumont .… 61 | Fernande Michaud, Mallaig 55 de 36 ans, après quelques jours de ma- Lucille Fortier, Donnelly 60 | Simonne Leduc, Fort Kent 55 jadie seulement. Elle laisse dans le Aline Gaucher, Fort Kent … 6a : Léandre Dansereau, Beaumont 55 deuil son époux, ses enfants Paul, âgé Gérard Sauvageau, Falher 60 | Rose-Marie Muzur, Sacré-Coeur 54 de 10 ans et Yvonne 8, ses parents sus- Yolande Guindon, Girouxville 60 Alice Dame, Grandin . 04 nommés, ses frères et leurs dames: MM. Richard Dragon, Plamondon 60 Yvette Thivierge, Grandin . 54 Anicet, Médard, Bernard et Eugène Pauline Magnan, Beaumont sn 60 Carmel Jean, McLennan . 54 (Pit), de Vancouver, et L. Paul Bou- Jeannine Royer, Beaumont 60 Raymond Bordeleau, Falrer 54 gie et sa dame de Bonnyville; ses oncles, Pauline Dansereau, Beaumont 60 Marcel Dalton, Sacré-Coeur 53 Louis et Jos. Bougie, de Vancouver. Suzanne 8t-Louis, McLennan 60 Charles Ouellette, Thérien 53 Pauvre mèércl sa joie a été de courte Madeleine Dechaine, Mallaig 60 | Lilliane Lamoureux, Mallaig 53 durée, après un si beau voyage en Al- Marcelle Curial, St-Albert 680 : Roger Lauzon, Falher 53 berta pour assister aux noces d'or de Georgette Potvin, Tangente … 60 Robert LeBlanc, Beaumont 52 prêtrise de’ son frère l'abbé Normandeau, AÎma Leclair, St-Vincent 60 Yvonne Magnan, Beaumont … 52 elle retournait chez elle pour assister Mary Krawchuk, St-Vincent 60 Doris Brodeur, St-Albert 52 aux derniers moments de sa fille. Les fu- Jacques Voyer, Thibeault 60 Rita Beauchamp, Donnelly ….… 52 nérailles eurent lieu à la paroisse du Jüliette Lavoie, StAlbert .…..80 Thérèse Chapdelaine, Mallaig .… 51 T. S. Sacrement; le R. P. Meek, supé- Françoise Lissenden, St-Paul 60 Rachelle Ouellette, Tangente …. 51 rieur chanta la messe de requiem. Les Francis Villeneuve, Sacré-Coeur . 59 Roméo Déchaine, Ste-Lina 51 porteurs étaient les quatre susnommés, et Jeannette Schaub, Plamondon 59 Agnès Pelletier, Legal 51 Narcisse Lecavalier et Edmond Bougie, Irène Caouette, Legal ee 59 Cécile Bonin, La Corey 51 cousins. Lilianne Doran, Falher 59 Jeannine Garneuu, Grandin 51 Aux prières récités au salon funéraire, Robert Bérubé, Beaumont 59 Marielle Bclland, Grandin 51 on remarquait les RR. PP. Meek et Bé- Henri Vallée, Beaumont … 59 | Rita Lavoic, Girouxville ss 51 langer et une foule de parents et d'amis Rachel Labonté, Thibeault 58 | Ernest Daigle, Fort Kent … 51 ainsi qu'au service. Un petit détail en Gvorgette Noël, St-Paul 58 | Pierrette Guérin, Donnelly … 51 passant; la famille avait eu la bonne Réjeanne Loiscau, Falher 58 | Laurette Lemay, Plamondon … 50 idée de faire mettre sur l'avis de décès: Pauline Bégin, Girouxville 57 | Lucien Jodoin, Stc-Lina ….. 50 pas de fleurs s.v.p.;: mais bienvenue aux | Guy Lefchvre, Sacré-Coeur … 57 Raymond Dumaine, La Corcy . 50 prières et au service. L'inhumation eut Thomas Lynch, MeLennan 57 ! André Auclair, Sacré-Cocur 50 lieu au cimetière de la Fraser où furent | Gilbert Oucllette, Mallaig 57 j Réal Champagne, Legal 50 inhumée Mme Scale, belle-mère ct tante | Adèle Couture, Bonnywille 57 : Marcelline Ilandfield, Grandin 50 Weng et de l’autre côté de la rue, le ci- Grégoire Ouellet, La Corcy 56 | Lucien Gagnon, Falher 50 metière des véterans où repose le corps Léonne Perrault, Sacré-Coeur 56 | Rogvr Thibault, Donnelly 50 de feu Philias Wilscam, vieil ami de la René Côté, Falher ne 56 |! Serge Pitre, Cirouxville Sr 50 famille Bougie. Paul-André Cloutier, Donnelly . 55 ji Victur Villeneuve, Sacré-Cocur 50 J.-A. Normandeau, pire. ©! Marie Morin, St-Albert 55 | Mariette Brodeur, St-Albert 50:

Le plus faible des hommes est celui qui est incapable de cacher son secret; le plus fort est celui qui sait maîtriser sa colère; le plus patient est celui qui sait dissimuler sa détresse, et le plus riche, celui qui sait se contenter de peu.

Confiez-vous à l'Eglise; laissez-la vous gouver- ner; soit qu'elle vous parle ou qu'elle se taise; soit qu’elle ordonne ou qu’elle insinue, prenez-la toujours pour votre boussole. C’est ma règle de conduite la plus sacrée et celle de tout catho- lique. LACORDAIRE

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MERCREDI 16 AOUT 1950 La politique fédérale

Le gouvernement fédéral voudrait bloquer . linflation et activer fa production

Par la British United Press :ront élaborés, au cours des prochaines

Alors que le bureau fédéral de la sta- semaines, lorsque l’on connaîtra le tableau tistique annonçait que le coût de la vie général des besoins de défense, des con- avait augmenté de 2.2 points en juin, le trats seront accordés sur les marchés où gouvernement fédéral se préparait à li- lon sentira le moins leur effet sur les | vrer une ‘guerre calme contre l'inflation ‘prix et les salaires. | en projctant de procéder lentement aux Jusqu'à date, la première commande) contrats de guerre, tout en assurant le | importante d'armes au Canada a été, développement de projets civils sur une confiée à la société Sorel Industries qui! large échelle. fabriquera des canons de la marine SA

Un informateur en relation avec le ca-,3.5 pour une valeur de $10,000,000. Ces binct a révélé que le gouvernement se;armes seront livrées au gouvernement | propose d’accorder des contrats de guerre canadien ct américain, aux manufacturiers, en suivant un plan: Au cours de la dernière guerre, les! qui préviendrait toute inflation que pour- : chantiers de la Sorel Industries ont été rait entrainer l'achat massif de matéri- parmi les plus grands centres de produc- aux de guerre. jtion d'armes.

L'informateur qui refuse de faire, PU-1 Pendant que l’on procède au recrute- blier son nom dit que le gouvernement ent de la brigade spéciale de terre et fédéral “reconnait l'importance suprême ‘que l’on cherche à augmenter les effec- de poursuivre son programme de prépa-\tifs de 40 pour cent, le ministre des pé-; ratifs militaires, de manière à ce quil | cheries fait l'inspection de la côte ouest ait le moins d'effet possible au point de au pays pour y sonder les possibilités ! vue de Vinflation.” ‘de développements industriels.

D'autres informateurs disent que Le, Au cours de la dernière guerre, la gouvernement tentera de ralentir cer- Colombie canadienne a été un important tains projets civils dans la mesure du centre de production de navires et d’a- possible. Ils disent que cette ligne de ‘ions. On croit qu'elle pourrait repren- conduite réduirait l'effet inflammatoire ; 44 ce rôle dans l'état d'urgence actuel. de Pachat subit de matériaux de guerre.

Dans les milieux gouvernementaux, : on souligne que tous les autres pays si} gnataires du pacte de l’Atlantique cher-: cheraient à se réarmer en suivant une:

Le plus moderne terminus de marchandises en Amérique du Nord, le nouveau triage à “butte de gravité” que le Pacifique Canadien a fait construire au coût de $12,000,000 à Côte St-Luc, dans la banlieue, montréalaise, a été officiellement inauguré, le 6 juiliet, par le ministre des Transports, l'hon. Lionel Che-: vrier, que l'on voit à droite dans la petite photo, alors qu'il fait l'inspectiün du système de contrôle auto-| matique des freins de voies, en présence

gauche, et de M. J.-O. Asselin, p

fait voir le triage proprement dit, photographié de la crête de la butte. Quand les wagons de marchan-' qu'il a prononcé en recevant les mem- dises ont atteint la butte, on les détache, puis, entraînés dans la pente par leur propre poids, ils roulent j au congrès international des scien- lvers le triage pour s’aiguiller automatiquement sur la voie assignée. Alors qu’ils descendent la pente, on | ,dministratives.

La Survivance |

RSR LS

e M. N.-R. Cru

m ? résident du comité exécuté de la ville de Montréal. La grande

vice-président du Pacifique Canadien, à £mille ne doivent être absorbés par l'E-

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L'Etat ne doit absorber ni l'individu ni la famille

Cité du Vatican. — Ni l'individu ni la!commun . Le pape a fait ensuite allusion à Ja véritable floraison de plans et d’unifica.

tion à laquelle on assiste à l'heure pré. sente.

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photo tat, a déclaré le pape, dans un discours

politique visant à prévenir l'inflation. :

Lorsque les projets d'équipement se-

Le testament de M. King

RER | Ottawa. — Les exécuteurs du testa-|

ment de Fhon. Mackenzie King évaluent | à $750,000 la fortune de l’ancien pre- micr ministre du Canada. Cette somme, d'après Ja volonté de M. King, servira à l'intérêt publie et à l'établissement de bourses d’études.

Ses papiers privés, une mine pour} l'histoire canadienne, sont entre les: mains des exécuteurs testamentaires, mais son journal personnel est destiné à: être détruit, à l'exception de certains passages indiqués par M. King lui-même.| Gérard Lamarche, qui vient d’assu-

La Maison Laurier, à Ottawa, ancien- mer la direction de “Radio-Collège”, dont ne résidence de sir Wilfrid Laurier et de'il était un des réalisateurs depuis 1944. M. King, est donné au gouvernement M. Lamarche succède à M. Aurèle Sé- ainsi qu'une somme de $225.000 pour guin, récemment nommé directeur de la son entretien. télévision pour Radio-Canada à Montréal.

‘Sa Sainteté le pape Pie XII passe l'été à . Sa résidence de Gastelgandolfo

peut contrôler leur vitesse, au moyen de freins de voie installés de chaque côté des raïls. Ce terminus |moderne permettra d'effectuer le triage de près de 3,000 wagons par jour. Il est divisé en trois faisceaux, |) Ile faisceau de réception, le faisceau de triage et le faisceau de départ, dont la capacité est de 4,869 wa-

gons et dont la longueur totale des voies est de 75 milles.

| Migration annuelle des moissonneurs

Ottawa. — Le ministre du Travail.

| teurs dans l'Arctique

Ottawa. — Neuf Canadiens et Améri- cains dont l’officier d’aviation J.-R. Du-

|Milton-F. Gregg, annonce que le mouve- ! Dé; de Grand’Mère, victimes d’un acci-

ment fédéral provincial annuel des mois- ! dent survenu dans l'Arctique, le 81 juil- sonneurs vers les provinces des Prairies let, ont été ensevelis sur l'ile Bleak El- doit commencer cette semaine, et que la'lesmere, à 1,000 milles environ du pôle majorité du contingent partira tard en nord. août. Ps Les corps ont reçu tous les honneurs Bien qu’on ne sache pas encore le nom- militaires, a annoncé le C.A.R.C., quand bre exact nécessaire; on s'attend qu’au. ils furent ensevelis la semaine dernière moins 2,000 travailleurs feront le voyage. l'après un service funèbre célébré par le

Le ministre fait remarquer que les ré-chapelain du brise-glace américain East|partir pour les camps de Borden et Pe- coltes seront beaucoup plus abondantes Wind. On élévera des épitaphes sur les 'tawawa, en Ontario, et celui de Shilo, au

que l’an dernier, bien qu’un peu tardives. On prévoit que la récolte la plus abon- dante sera en Saskatchewan; aussi diri- gera-t-on 1,000 travailleurs de l'est envi- ron vers cette province. Le Manitoba et V'Alberta auront besoin d'au moins 500: moissonneurs chacun, déclare le ministre. | "680 kilocyles Tous les travailleurs recrutés dans le: Québec ct l'Ontario seront envoyés à° AM.

lieux de la sépulture.

LUNDI

inhumation de 9 avia-|L'entraînement au camp

Li] ! F7 Lo Cet horaire nous est fourni par le poste CHFA et nous ne sommes aucunement responsables des changements qui pourront y être faits,

MARDI

: Castclgañdolfo.=s Le pavillon jaune

La vie de cour se poursuit à Castel-:

Après avoir insisté sur l'intérêt que "Eglise porte à l'Etat, celui-ci ayant, a- Itil dit, sa racine dans l’ordre de la Icréation et étant lui-même un des élé- iments constitutifs du droit naturel, le lpape s’est attachàr à définir la vraie no- tion de l'Etat. | Pie XII a déploré les abus de puis- sance de l'Etat qui se sont produits à

Montréal. — Le premier contingent de travers les siècles, en soulignant qu'au- recrues pour la brigade spéciale de l'Ar-ijourd'hui “c’est une véritable hypertro-

équen-

de Valcartier

mée canadienne, de cent hommes envi-iphie qui se perpétue avec des cons Îces par trop évidentes.”

Ni l'individu ni la famille ne doivent à : a | être absorbés par l'Etat, a poursuivi SS ment spécial. A Montréal, des officiers de'j; pape Pie XII, chacun garde et doit recrutement ont été abordés de demandes! garder sa liberté de mouvement, dans et les autorités de l’armée ont dû deman-\la mesure où elle ne risque pas de por- der l'aide de médecins civils. Un autre! ter préjudice au bien commun.

Éronper: des 100: homes: se nrénarit Al En outre, il y a certains droits et P Prép icertaines libertés des individus, de cha-

que individu ou de la famille, que l'Etat doit toujours protéger et qu'il ne peut violer ou sacrifier à un prétendu bien

ron, a quitté la métropole pour le camp de Valcartier, où il subira son entraîne-|

Manitoba.

sions du poste

MERCREDI

JEUDI VENDREDI

“Qui ne voit, dans ces conditions, Je dommage qui résulterait du fait que le dernier mot dans les affaires de l'E. tat serait réservé aux purs techniciens de l'organisation? Non, le dernier mot appartient à ceux qui voient dans l'Ett une. entité vivante, une émanation nor. male de la nature humaine, à ceux qui administrent au nom de l'Etat, non pas immédiatement l'homme, mais les af. faires du pays, en sorte que les indivi. dus ne viennent jamais, ni dans lew vie privée étouffés sous le poids dt l'ad- se trouver étouffés sous le poids de l'ad. ministration de l'Etat,

“Le dernier mot appartient À ceux pour qui le droit naturel est autre chose qu’une règle purement négative, qu'une frontière fermée aux empiètements de l législation positive, âme qui lui done sa forme, son sens, sa vie. Puisse donc le dernier mot, lè mot décicif dans l'ad- ministration de la chose publique étre l'apanage de tels hommes.

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AEDI DIMANCHE

ët blanc du Saint-Siège flotte sur le pa-{gandolfo, mais avec moins de solen- lais pontifical de. Castelgandolfo, où Sa nité. Tous les matins, chambellans et Sainteté Pie XII se retire ce mois-ci. prélats du secrétariat d'Etat arrivent de Agé de 74 ans, le Pape fuit la chaleur;Rome pour les audiences de la jour- de Rome, après sept mois d’activité in-}née. Le palais renferme une série de sai- tense résultant du jubilé, activité qu'ililes d'audience qui portent les même reprendra à l'automne, pour cônclure noms que celles du Vatican, mais sont les cérémonies de l'Année Sainte. | moin vastes moins richemfgnt ornées. Lorsque le Pape est absent, le domaine! Le cérémonial est aussi plus simple, de de Castelgandolfo bénéficie seulement|sorte qne les visiteurs ont une impression de l'exterritorialité, comme une ambas- d'intimité qu’on ne retrouve pas dans la sade ou une légation. Mais l’arrivée 'soleñnité du Vatican. du Pape en fait un territoire indépendant] Deux fois la semaine, le soir, le Pape au sein de l'Italie, Quelques jours avant retourne à Rome recevoir les pèlerins en le départ du Pape pour les monts Al-| audience publique. Depuis le début de bains, le village de Castelgandolfo s’a-| l'Année Sainte, le Pape a accordé 70 nimc fiévreusement. La villégiature pon-ide ces audiences, bénissant à chacune tificale entraîne en effet le transport dede 15,900 à 40,000 pèlerins. nombreux personnages de la cour vati- Grande sobriété du Pape cane. | Les autres jours, le Passe passe l’a- Le service d'ordre |près-midi à se promener ou à lire, dans Deux autobus amènent les Suisses qui'les jardins de Castelgandolfo: Dès 6 h. monteront la garde à l'entrée et dans les |du soir il se retire dans ses appartements, corridors du palais. Ces gardes sont sui-|y soupe. Il ne mange presque jamais de vis de policiers du Vatican en civil, char-! viande, quelquefois un oeuf: ses repas gés de la surveillance du domaine pen-\se composent surtout de fruits, de sala- dant le séjour du Pape. Enfin, le gouver-| des, de fromage. Après souper, le Pape

Winnipeg, d’où ils seront dirigés yers différents endroits des Prairies. Le tarif de transport des travailleurs est réduit. à l’occasion, à $15 et $11.50 pour l'aller et retour respectivement.

Médaille d’or pour un prêtre

Une des huits personnes qui ont reçu dernièrement, au Capitole de Rome, la médaille d’or italienne, à titre civil, est un prêtre, Je R. P. Filiberto Quintiliani.

Appelé chez une mourante pour lui ad- ministrer les derniers sacrements le P. Quintiliani se trouva en face d’un hom-

| me qui le menagçait avec un revolver

chargé. Passant outre, le prêtre s’appro- cha courageusement de la mourante et l’extrémisa sans que son agresseur eût le courage d’intervenir.

Pèlerins protestants

Jusqu'à présent, 8,000 protestants des pays scandinaves 5e. sont fait inscrire

nement italien fournit au pontife un dé-|travaille jusqu’à minuit. Son séjour à | pour les pèlerinages de l’Anée sainte, sui- tachement de cent carabiniers, pendant! Castelgandolfo lui vaut un changement'vant un communiqué du Comité nordi- d'air, mais non un repos complet. ‘

sa villégiature.

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10h.00—Cilub Alouette Le Club Alouette Le Club Alouette 10h.15—Club Alouette Le Club Alouette Le Club Alouette

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: 11h.80—Avant l’Angélus 12h.00-—Horaire P.M. : 12h.09—Coin des affaires 19h.05-Quelques valses 12h.15--Radio journal 12h.25—Intermède 12h.80—En dinant

Le Club Alouette

Quelques valses Radio journal Intermêède

En. dinant

Quelques valses

Radio journal « \Intermède

En diînant

12h.45— Blanches et noires! Blanches et noires Blanches et noires

12h.59— > 1h.00-——Potpourri musical |Potpourri musical Potpourri musical 1h.15— : 1h.80—Néo Canadiens L'harmonie Néo Canadiens 7 2h.00—Causerie

2h.15— Caprice des goûts

2h.30—

8h.00— Nouvelles Bulletin de nouvelles] Bulletin de nouvelles

8h.05—4 coins de Paris |Aux 4 coins de Paris| Aux 4 coins de Paris 8h.30— + 3h 45 Heure! des souhaits! L'Heure des souhaits] L'Heure des souhaits 4h.00—Mico Activités | Micro Activités Micra Activités

AT en ae Sacré-Coeur |Radio Sacré-Coeur

? étente Message (Nord) nu maladest Dédié aux malades |Dédié aux malades

5h.00—En marge des émis-

sions commerciales 5h.15-—Valses, Tangos 5h.20—

Ën marge de nos e-|En marge de nos e-

missions commerciales|missicns commerciales Variétés musicales Valses et Tangos

CRE Yvan lIntrépide Yvan l'Intrépide

DA an drgénde | En sent le Survie |Vore Conseliére É ° vance” Orize

6h.00—Rapport des routes|Le rapport des routes| Le rapport des routes

SOIREE . Ù

6h.05---Hors d'oeuvre Hors d’oéuvre musical| Hors d'oeuvre musical

- musical . Î ea Die ‘ 6h.15—Radio journal Radio journal Radio journal 6h.25—Intermède Intermède Intermède

| Chronique sportive

- 6h.30—Chronique sportive] Chronique sportive : . La. Sieste musicale

6h.40-—Sieste musicale }La Sieste musicale .- 6h.45—-Un home et son |

"péché: . = pe ce re: 7h.00—Un homme et son | Un homme et son -|Un homme et. son :" péché : | péché Es péché - 7h.15—Méli -mélo se Méli-mélo : Méli-mél ] ‘a :

7h.30—Sherlock Holmes |Le théâtre populaire | Dans le bon vieux : : "| temps ei -Th.45— : hanteur des prairies

8h.00—Dernières vole Dernières nouvelles | Dernières nouvelles 8h:10—Intermède ‘| Intermède Intermède .8h.15-—Gaietés parisiennes|R. Sud-américain , | Sbus les Palmiers

: 8h.80—Entr'aide universi- | Dans l'ambiance Les ,succès- français :8h.45-Cordes’argentées : , DNA EU OR és -9h.00—Trésors:-symphoni- | Fantaisies.. . :. ‘| En Récital ce soir. ee qués instrumentales. RS :Sh.80—Brise musichle “| La brise musicale Méinie ate De a Der D « 4 à Re 10h.00—Nouvelles = - [Résumé des nouvelles! Résumé des nouve es Das classique | Souvenirs - [Souvenirs … a . RS =. -.[Les touches d'ivoire : 10h.80— “ ‘| Le succès du jour ‘ RD ee 10h.35— : . « [Les touches d'ivoire , | 10h.45—Refrains étrangers | Refrains. étrangers | Refrains étrangers “Hh.00—Adagioi.…. . :.. | Adagio . | Adagio LE ‘11h.55—Nouvelles Bulletin des nouvelles| Bulletin des:nouvellés

in : dé

Fin des.-émissions :

Bulletin de nouvelles | Bulletin de nouvelles | Bulletin de nouvelles | Bulletin de nouvelles

Horaire des émissions| Horaire des émissions! Horaire des émissions| Horaire des émissions 272] PATES Ces" emussions|E'oraire es CHISSIONS

12h.40-—Rapport, des routes] Le rapport des routes] Le rapport des routes Le rapport des routes|Le rapport des routes

Au caprice des goûts | Au caprice des goûts | Au caprice des goûts |Au caprice des goûts |Opéras et opérettes

a |'Un ‘homme et son

Dernières nouvelles

-.[ Folklore. et fantaisies

RCA Victor. : : Re dora fe = | Résumé dés: nouvelles| Résumé des nouvelles! Résumé des nouvelles Hésumé des 20 En.sourdine. Chr Frandete dls pue les LE en nouvelles R

He Mes mn. | SNRNE Rare - [Semi-classique

[Succès du jour A:votre goût‘ “ [Les touches d'ivoire.

Les Gaietés matinales| Les Gaietés matinales|Les Gaietés matinales ici et là, dépuis minuit| Ici et là, depuis minuit|Ici ef là, depuis minuit Les Gaietés matinalesiLes Gaïetés matinales|Les Gaietés matinales|' Radio journal Radio journal Radio journal Intermède Intermède Intermède . Recueillement Recueillement Recueillement

L'orgue enchanté L’orgue enchanté L’orgue enchanté

Le Club Alouette

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L'heure de Bonnyville| L’heure de St-Paul

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Radio journal

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Les chefs-d’oeuvre de la musique

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Le Coin des affaires\ Le Coin des affairesLe Coin des affaires Le Coin des affaires Le coin des affaires

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